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Prix du Roman de l’université de Constantine

4 écrivains finalistes retenus

Les membres du jury du Prix littéraire du Meilleur Roman de l'université des Frères-Mentouri de Constantine viennent de rendre publique la liste de la deuxième et dernière sélection des écrivains parmi lesquels sera choisi le lauréat de cette année. Pour la langue française, le jury de l'université des Frères-Mentouri de Constantine a opté pour Jugurtha Abbou pour son roman «Les maux conjugués» (Éditions El Amel), «Une saga algéroise» de Mohamed Iftissen (Éditions Frantz-Fanon), «Les vies multiples d'Adam» de Lamine Benallou (Éditions Frantz-Fanon) et «Kella» de Ayer Mimoun (Éditions Casbah). S'agissant des romans en langue arabe, deux livres ont été choisis et parmi lesquels émergera le lauréat de cette nouvelle édition. Il s'agit de «Attarhan» de Abdelkrim Karoum ainsi que de «Noubat el gharbia» de Mohamed El Amine Ben Rabie.
Cette seconde sélection intervient quelques semaines après celle comportant une liste plus longue d'écrivains dont les noms ont préalablement émergé à partir de l'intégralité des auteurs ayant postulé pour l'obtention de ce Prix littéraire ayant eu un remarquable retentissement lors de l'organisation de la première édition. Lors de la première édition du Prix littéraire du Meilleur Roman organisé par l'université des Frères-Mentouri de Constantine, en janvier 2022, la lauréate a été l'auteure Malika Chitour Daoudi pour son roman intitulé «Le Kafrado» (Éditions Casbah). La cérémonie de remise de ce Prix a eu lieu le 11 janvier 2021 en présence de la célèbre écrivaine Maïssa Bey, en tant que présidente d'honneur du Prix.
La culture des prix littéraires commence à s'enraciner dans notre pays au grand bonheur des écrivains et des éditeurs mais aussi des lecteurs. Après le prix «Mohammed Dib», lancé au début des années 2000 et organisé par l'association «La grande maison» de Tlemncen, de nombreux autres prix ont vu le jour dont le plus prestigieux est indéniablement celui portant le nom d'Assia Djebar, qui récompense chaque année trois écrivains dans les langues amazighe, arabe et française. C'est le cas d'ailleurs du prix «Mohammed Dib» aussi. D'autres prix littéraires ont été initiés dont certains ont réussi à tenir alors que d'autres trébuchent à l'instar du Prix littéraire du Roman féminin Yamina Mekachra, qui récompense exclusivement des femmes écrivaines, également dans les trois langues. Il y a en outre le Prix littéraire «L'escale d'Alger» qui avance en dents de scie. Un autre Prix, celui des Libraires algériens, a malheureusement, fait long feu et n'a pas pu s'inscrire dans la durée après avoir été décerné, notamment à Yasmina Khadra et Hamid Grine. En langue amazighe, de nombreux prix ont été lancés. Le plus important est le Prix du président de la République, décerné le 12 janvier à l'occasion de la célébration du jour de l'An amazigh. Il y a également le Prix littéraire portant le nom d'un illustre chercheur et écrivain spécialisé dans la culture amazighe, Mohand-Akli Haddaddou qui nous a quittés le 18 novembre 2018. On regrette la disparition de l'un des tout premiers Prix littéraires algériens, lancé par la Bibliothèque nationale d'Alger à l'époque où elle était dirigée par l'écrivain Amin Zaoui. Il s'agit du prix
«Apulée. 

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