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Des Journées lui sont consacrées depuis lundi dernier

Alger, capitale du Madih religieux

Les Journées du «Madih religieux», organisées par l'Office Riadh El Feth (Oref), se sont ouvertes lundi à Alger, avec les prestations de deux associations de musique andalouse qui ont déployé des répertoires de circonstance, adaptés au mois sacré du Ramadhan, devant un public relativement nombreux. Dans le cadre de son programme culturel et artistique durant le mois sacré de Ramadhan, l'Oref a convié pour l'animation de ces journées, prévues du 25 au 29 mars, dix associations représentant les villes, d'Alger, Koléa, Blida, Cherchell, Miliana et Boufarik.
Pour la première soirée de ces journées, la scène de la salle Ibn Zeydoun, centre des Arts de l'Oref, a accueilli les associations culturelles, «Ahl El Fen pour la musique, la danse et le théâtre» d'Alger, présidée et dirigée par la pianiste Nesrine Bourahla et «El Fen El Assyl» de Koléa, crée en 1998 par l'une des grandes figures de la musique andalouse, le regretté Brahim Benladjreb (1947-2016) et léguée à la jeune génération, dont l'actuel directeur artistique, Mohamed Benladjreb (fils), et le président en exercice de ce beau collectif de plus de 120 adhérents, Mohamed Kissarli.
Durant près de deux heures de temps, les deux ensembles ont enchanté l'assistance, à travers des chants religieux de M'dihs, célébrant la gloire de Dieu, à travers des louanges et des poésies d'adoration qui faisaient également l'éloge du prophète Mohammed (QSSSL), sous un éclairage feutré, dans des atmosphères solennelles empreintes de recueillement et de spiritualité.
Ainsi, l'association «Ahl El Fen» a présenté un programme en trois parties, portées essentiellement par les voix suaves des jeunes cantatrices, Ines Chaabane au oud, Hassina Semrani au qanun et Anaïs Oukil au violon, ainsi que par les frères ténors, Hani et Chakir Bourahla, respectivement à la guitare et aux bendirs.
L'association algéroise a également été soutenue par des musiciens de qualité, à l'instar d'Elias Daïmellah (17ans), auteur d'une prestation époustouflante à la derbouka et Abderraouf Khadjali (12 ans), virtuose de la mandoline.

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