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EN PRÉVISION DU MATCH ALGÉRIE-BÉNIN

La sélection béninoise déstabilisée

Déjà attaqué après l'élimination du Bénin de la CAN 2013, il est aussi reproché à Manuel Amoros de ne pas avoir établi de plan de préparation pour l'EN béninoise qui doit défier l'Algérie, le 22 mars prochain.

Le sélectionneur des Écureuils, Manuel Amoros, est assis sur un siège éjectable depuis l'échec du Bénin dans les éliminatoires de la CAN 2013 et qui n'a pas hésité à régler ses comptes avec le président de la Fédération béninoise, Anjorin Moucharafou, en direct à la radio, à quelques semaines du match capital Algérie-Bénin qui doit se dérouler le mois prochain à Alger, pour le compte des éliminatoires de la Coupe du Monde 2014.
Déjà attaqué après que le Bénin ait buté sur les éliminatoires de la CAN 2013, il est aussi reproché au coach français de ne pas avoir établi de plan de préparation pour l'équipe nationale béninoise qui est amené à lutter pour garder sa première place du groupe contre l'Algérie. Invité le week-end dernier à la radio béninoise Atlantic FM, le sélectionneur a défendu son bilan depuis sa prise de fonctions (7 victoires, 4 nuls et 2 défaites) puis a fait des révélations fracassantes qui risquent de ne pas rester sans suite.
«Le 28 juin 2012, j'ai remis au président Anjorin un programme de préparation. Ce programme est fait pour superviser en Afrique du Sud les matchs de l'Algérie et du Mali, d'une part, et d'autre part, j'ai remis un autre programme pour la préparation des Ecureuils avec des matches amicaux prévus qui devaient être joués en octobre, novembre et décembre 2012 ainsi qu'un match pour ce mois de février à l'occasion de la date FIFA».
Selon lui il aurait reçu une fin de non-recevoir puisque aucun moyen ne serait mis à sa disposition et à chaque fois on lui signifie qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses. Ensuite, Manuel Amoros ne semble pas digérer le manque de soutien de son supérieur hiérarchique, révélant que le président de la fédération n'a pas hésité à lui mettre la pression.
«Quand on est un entraîneur, il faut être sous pression et savoir qu'on est sur une chaise éjectable» lui aurait lancé le premier homme du football béninois au sortir du match Bénin-Ethiopie (1-1) du mois de juin 2012. Depuis cette date, soit 8 mois, l'équipe nationale du Bénin n'a plus joué aucun match. C'est donc dans l'inconnu et sur fond de lutte entre le coach et le président que le Bénin se présentera le mois prochain à Alger.
Cependant, Manuel Amoros pense que ce n'est pas parce que le Bénin ne s'est pas préparé qu'il est déjà vaincu. Le sélectionneur des Écureuils dit faire tout de même confiance à un groupe qu'il veut rajeunir et dont Stéphane Sessègnon serait le leader sur le terrain... Enfin, si d'ici là il est encore en poste.

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