L'Expression

{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Le bâtonnier actif comme en février

Mustapha - Farouk Ksentini, le vieux bâtonnier de Blida, continue, à son âge, de se lever tout les matins, pour rejoindre les juridictions, voisines de la cour de Blida. Sillonnant les routes secondaires ralliant El Affroun, Larbaâ, Boufarik, Chéraga, Koléa, Tipaza, Hadjout, Cherchell, et souvent l'autoroute pour atteindre, frais et dispos, Boumerdès, Rouiba. Au retour, las et presque, esquinté par une infernale circulation, le bâtonnier rejoint directement son cabinet, à Blida, où les réceptions sont strictes. Auparavant, il a, chaque fois qu'il entre en son cabinet une longue pensée pour les confrères disparus, ou alités. Les Me Hadj Rachid Morsli, Me Mahmoud Khellili, Me Chabi Benouaret, Me Torche, Me Abdesslam Hamani, Me Djillali, Me Yahia Bouamama, restent le meilleur souvenir pour lui. « Le justiciable doit se contenter de poser la problématique, et laisser son conseil décider de tout. Vous comprenez que le facteur temps est impératif. Il faut le respecter. C'est pourquoi il est très important pour le défenseur d'être concentré sur le délit, où les graves atteintes au client. Je me rappelle, du temps où certains magistrats carrément exécrables, veillaient à la non- application de la loi, mais plutôt à servir X, Y ou Z, aux «larges épaules». Cela relève du passé. Heureusement, que ces sombres pratiques, ne sont plus, ou presque, de ce monde!» a déclaré, le regard lézardé par le jeûne, le sympathique bâtonnier, champion de la défense des droits de l'Homme, et du citoyen, sans qui, il n'y aurait pas d'Etat, à proprement parler.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours