L'Expression

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BORDJ EL-KIFFAN

300 familles crient à l’injustice

En dépit de toutes les décisions prises en leur faveur, les bénéficiaires de la coopérative Al-Zéna souffrent toujours d´un blocage pour le moins inexplicable. Ils sont environ 300 familles à avoir bénéficié de lots de terrains dans le cadre de la mise en place de promotion immobilière au niveau de la commune de Bordj El-Kiffan. Les décisions d´attributions ont ainsi été délivrées en 1994 par l´ancienne DEC (Délégation exécutive communale). Depuis, les heureuses familles se sont acquittées de toutes les démarches administratives et financières dans le but de lancer le plus vite les coopératives immobilières y afférentes, dites Alzéna I et II.
Or, un blocage pour le moins inexplicable est intervenu au niveau de la wilaya d´Alger. Sans qu´il ne nous ait été possible de confirmer l´information, nous croyons savoir que ce serait carrément l´ancien wali qui aurait apposé son veto à la mise en place de ces chantiers, destinés pourtant à mettre un terme au calvaire de nombreuses familles vivant dans des conditions tout simplement inhumaines, comme il nous a été donné de le constater lors de notre virée sur le terrain.
Regroupés en associations, les bénéficiaires ont eu recours à la justice et ont obtenu gain de cause, jusqu´à obtenir une décision exécutoire et définitive. Or, rien de cela n´a été fait. «De quoi se demander s´il n´existe pas en Algérie des gens ou des institutions situés au-dessus de la justice!», s´exclament nos interlocuteurs.
Ces derniers, en désespoir de cause, en appellent à l´arbitrage du premier magistrat du pays afin que soit mis un terme à cette injustice qui n´a que trop duré.

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