L'Expression

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45ème anniversaire du décès de Kaïd Ahmed

Un Homme, un destin et un legs

En hommage à ce grand dirigeant, décédé en 1978, nous republions cette inédite intervention de Kamel Bouchama lors de la pérsentation de son ouvrage: «Kaïd Ahmed, homme d'État», le 9 juillet 2011 à l'hôtel Hilton, devant un parterre de hauts responsables et d'amis du défunt...
Le quotidien L'Expression, ne pouvant se dérober à cette tâche originale d'expression - qui est la sienne - la publie dans ses colonnes eu égard à la grandeur de l'Homme qui a lutté pour les valeurs du pays, jusqu'à son dernier souffle...

«Hier, nous étions au bord du précipice, aujourd'hui, nous avons fait un pas en avant»
Ceux qui ont attribué à Kaïd Ahmed cette fameuse citation, qui le suit jusqu'à aujourd'hui, avaient-ils conscience qu'ils l'ont affublé, sans mesurer les conséquences, d'une sentence remarquablement juste, au vu des résultats clairement établis et confirmés sur le terrain de la réalité? Effectivement, en admettant qu'il aurait dit cela, ne voulait-il pas expliquer «qu'hier nous étions en difficulté et qu'aujourd'hui nous nous sommes empêtrés, en pataugeant dans la gadoue?»
C'est alors que Kaïd Ahmed, quand bien même aurait-il dit cette phrase qui le grandit, rentre de plain-pied dans l'Histoire du raisonnement logique de ces philosophes qui ont laissé des traces pour l'Humanité. En tout cas, ses paroles sont des prémonitions et les idées qui s'en dégagent sont cas d'école, pourrait-on dire.
Ainsi, ce haut responsable à qui on prêtait beaucoup de bêtises et de galéjades, avec une énorme exagération entretenue par de souterraines visées perfides et ambitions spécieuses, et qu'on essayait de tourner quelquefois en dérision, était «un homme politique sérieux, lucide, qui avait derrière lui une longue expérience sur le terrain qui lui a permis de connaître la nature humaine, les ambitions, les faiblesses et les vertus des plus petites aux grandes gens».

Raconter cet Homme aux jeunes
J'ai eu déjà l'occasion d'écrire sur ce haut dirigeant au moment où d'autres se taisaient ou le couvraient d'opprobre. Aujourd'hui, l'occasion se renouvelle pour me donner cette envie de raconter aux jeunes ce qu'était celui qui n'est connu, au sein de leur génération, que par des descriptions qu'on a si insidieusement élaborées ou déformées. Il est temps de leur dire, à travers cet ouvrage, qui se veut un témoignage sincère d'un cadre qui a eu l'insigne honneur de militer sous sa responsabilité, que la mosaïque bigarrée des regards de l'époque n'arrivait pas à admettre le comportement de ce militant à l'opiniâtreté manifeste et ne le percevait autrement que sous un angle critique où la réplique acérée prenait le pas, très souvent, sur la moquerie et le persiflage. Et il faut dire aux jeunes que ce militant n'était ni un troubadour corrodant et agressif, ni un facétieux blagueur. Il était le responsable enthousiaste, quelquefois fougueux, certes, mais plein de charisme et de visions lointaines pour une Algérie qu'il voulait prospère, comme le sont les vastes contrées du Sersou où il est né.
Aujourd'hui, il s'avère nécessaire de remettre les choses à leur place. Il nous faut apprécier les responsables politiques que nous avons connus et pratiqués, à leur juste valeur et à la lumière du contexte dans lequel ils ont exercé leurs fonctions. Il est indispensable, en effet, de les situer selon leurs mérites et états de service au service de la nation. Il faut surtout ne pas offrir de fauteuils à ceux qui ne méritent que des strapontins; en d'autres termes, on ne devrait pas célébrer ceux qui n'ont eu qu'un rôle subalterne ou aucun..., tout simplement. De même qu'il est inadmissible de répandre des ragots et propos malveillants pour éluder ou occulter des faits réels dans le but de discréditer des dirigeants, auprès de l'opinion publique.

Mais qui est Kaîd Ahmed?
C'est une question que m'a déjà posée mon fils. Alors, moi son père, je lui ai répondu de la manière la plus simple. Suivez notre dialogue.
· Mon fils, lis ce livre que je viens d'écrire, et tu auras une bonne idée, en tout cas plus claire que celle que tu puisses avoir à partir d'une simple discussion. Parce que dans ce livre tu auras le plaisir de voyager dans le temps, à travers 12 importants chapitres qui te promèneront dans le vaste patrimoine de Si Slimane, depuis sa prime jeunesse, jusqu'à ce fameux «Mémorandum» qui fait office de «feuille de route», en passant par cet élogieux parcours du nationaliste d'abord, du combattant ensuite et enfin du dirigeant politique. Là, mon fils, tu comprendras aisément pourquoi ai-je écrit ce livre sur celui qui n'a su abdiquer devant les événements et les hommes et n'a voulu baisser les bras devant les vicissitudes du temps, parce qu'il ne vivait que pour cette Algérie qu'il souhaitait prospère et radieuse.
Mais mon fils m'a dit, avec ce sentiment de reproche, comme s'il m'en voulait de n'avoir pas consigné tout cela plus tôt:
- Père, pourquoi as-tu attendu jusqu'à maintenant pour rappeler au bon souvenir de ceux de ta génération ce qu'était un «Géant» de cette trempe et sensibiliser les jeunes de mon âge autour des idées nobles qui se dégagent des actions de ton Si Slimane, comme tu nous l'affirme?
- Très bonne question, mon fils, à laquelle je me dois de te répondre de la manière la plus franche. Vois-tu, selon la mode d'hier ou, si tu veux, selon notre comportement de tous les jours, nous étions un peu timides dans nos interventions, nous faisions dans l'obligeance en quelque sorte..., du moins certains d'entre nous. D'ailleurs, on vivait cette ambiance où, malheureusement, la culture de l'oubli a failli effacer ce que nous avions réalisé de très beau, de très sérieux avant, pendant et après notre glorieuse Révolution de Novembre 1954.
Et là, sincèrement, je ne me sens pas visé par tes reproches car, aujourd'hui, j'ai fait mon mea culpa, en reconnaissant mon manque d'audace d'il y a quelque temps. Alors, j'ai décidé de lever le voile sur un «Géant», comme tu le dis si bien. Je lève le voile, non pas en produisant un ouvrage qui fait office de tribunal, mais en présentant un écrit qui se veut un espace de réflexion dans un esprit de droiture et de justice, qui appelle à un débat que je souhaiterai fécond et profitable à la mémoire de Si Slimane et par extension à la mémoire collective, si malmenée, lorsqu'il s'agit d'établir ou de rétablir l'histoire des Hommes qui ont été les pionniers dans la construction du pays, qui ont fait la grandeur de notre Révolution.
Vois-tu, mon fils, je n'ai pas produit un plaidoyer, encore moins un brûlot pour accuser les uns et condamner les autres, j'ai écrit un ouvrage pour rétablir la vérité sur l'Homme, et j'estime que cela est mon droit le plus absolu.
En effet, c'est un droit et un devoir d'aller vers cette dimension nécessaire, voire indispensable, celle qui permet de parler de ces rapports humains où il existe beaucoup de mensonges, de menteurs et de fausses reconstructions de ce qui était, de ce qui est... Car tout ce qui présente «ce qui n'est pas ou n'a jamais été» comme «ce qui est et ce qui s'est véritablement passé» entraîne l'injustice, selon un philosophe africain.
Ainsi, dans «Kaïd Ahmed, homme d'État», le titre de l'ouvrage, j'ai pris la liberté de rappeler des faits historiques méconnus ou occultés - c'est selon - pour mettre en avant les dures épreuves qu'a eu à supporter ce grand Homme durant sa carrière politique parce qu'il avait fait le choix d'une autre démarche sans accepter le moindre compromis qui, dans son esprit, flirtait souvent avec la compromission. J'ai essayé de rapporter modestement ce que je sais de cette personnalité nationale, par devoir de vérité uniquement, sans intentions, aucune, encore une fois, de provoquer, de charger ou de culpabiliser qui que ce soit. Cependant, ce devoir de vérité me réserve le droit de déclarer, à haute voix, parce qu'ayant vécu des moments inoubliables avec ce grand dirigeant, à l'instar de mes amis de la jeunesse et du parti, qu'il a été récompensé par l'ingratitude... Arrêtons-nous là pour l'instant.
C'est alors, qu'afin d'approfondir notre réflexion sur cet Homme qui a fait l'actualité il y a bien des années de cela, qui a été l'épicentre de récits historiques, et non moins fabuleux - et il n'y a aucun excès dans mon propos -, il m'a semblé pertinent de revisiter son itinéraire, bref son expérience, son éducation, ses compétences, son militantisme et ses nombreuses autres qualités, en te proposant et à tous les jeunes, une formidable plongée dans le passé. Tu comprendras qu'hier au moins - loin de moi cette nostalgie pathologique - un Homme comme Kaïd Ahmed, aura tenté, avec une extraordinaire détermination, au lendemain du recouvrement de la souveraineté nationale jusqu'à son dernier souffle, d'apporter sa contribution sincère à l'édification du pays.
Vois-tu, encore une fois, mon fils, qu'il est temps de raconter cet Homme qui a combattu à visage découvert des groupes de pression, et qui a été amené à dénoncer publiquement les risques de dérive qui pesaient sur le pays ainsi que les aberrations économiques, promues au rang de «dogmes». Il avait ce courage de dire tout haut les choses dans un style dénué de tout complexe, armé uniquement d'une forte conviction et d'une profonde connaissance sociologique et culturelle de l'Algérie. Voilà la grande avance que Si Slimane avait sur les autres cadres du pays. Une connaissance non théorique, qui se doublait d'une capacité d'immersion extraordinaire au sein de la société.Comment ne l'avait-il pas, mon fils, quand, saisissant sa plume à l'image de ces grands qui ont eu la force pour dire en mourant les mêmes choses qu'ils disaient en bonne santé, il écrivait à ses pairs pour réfuter, encore une fois..., la dernière peut-être, en décembre 1972 - le document est dans le livre -, ce «commerce de pacotilles», entendez par-là, «les carences institutionnelles et organiques qui ont engendré elles-mêmes une singulière dilution ou une concentration abusive des pouvoirs...». Ah! quels souvenirs suis-je en train de réveiller! N'est-ce pas l'amour de la vérité qui va restituer, à ceux qui lui sont chers, les valeurs de ce dirigeant qui fut un mariage de deux intelligences: une dans la réflexion, l'autre dans la force de l'action?

Mon fils renchérit
Encore autre chose, père..., ce Kaïd Ahmed, n'a-t-on pas raconté ses déboires avec la Révolution agraire, avec l'économie, avec le FLN surtout, n'a-t-on pas dit qu'il était contre tout, en quelque sorte... C'est quoi au juste cette animosité avec tout le monde?
- Non, mon fils, je ne veux pas que tu te trompes, comme beaucoup en notre temps, qui ont suivi ce ressac de rumeurs qui se répandaient autour de cet Homme valeureux, pour lui porter atteinte et le discréditer aux yeux des jeunes surtout.
Kaïd Ahmed n'a jamais eu ce sentiment de malveillance ou ce désir de nuire..., jamais! Cultivé, policé, raffiné malgré qu'il bousculait quelquefois ou souvent, pour des raisons de principe, il respectait tout le monde, parce que lui au moins, connaissait la valeur du cadre et de l'Homme, qu'on écrit en majuscule. Mais malheureusement, et tu as peut-être raison mon fils de me poser cette question, Kaïd Ahmed était connu dans la masse qu'à travers «d'autres gens», ceux qui étaient aux aguets pour dessiner un personnage qui, loin s'en faut, n'était pas un sujet de plaisanterie, tant dans son éloquence que dans son ardeur à convaincre les gens, même lorsqu'il utilisait dans ses interventions l'art du calembour et des bonnes «blagues» pour faire passer des messages. Voilà, exactement, comment on pourrait le définir aujourd'hui, pour le présenter aux jeunes et à ceux de notre génération, qui n'ont connu de cet Homme que ce qu'«on» a bien voulu leur rapporter en insistant sur son «comportement autoritaire», son «parcours politique confus», sa «fortune colossale», puisque ayant appartenu à cette dynastie des GPF (Grand Propriétaire Foncier), son «arrogance et son impertinence», ses «manières impérieuses», et enfin son «opposition à l'Algérie», puisque «féodal et contre la Révolution agraire»...
Mais mon fils, ceux qui l'ont peint de la sorte, ne savaient-ils pas, qu'eux-mêmes, véhiculaient toutes ces tares et ces manquements à l'éthique de la «prétendue» révolution socialiste qu'ils clamaient à tue-tête et qu'ils appliquaient de manière fausse et inconséquente? Un philosophe de la première moitié du XXe siècle avait raison, concernant ces derniers, à propos desquels il disait, à juste titre d'ailleurs, «il y a quelques idées et quelques êtres qu'il suffirait de définir pour les faire disparaître. Heureux qui peut survivre à sa définition...» Alors, dans cet esprit, Kaïd Ahmed qui allait au vrai avec toute son âme, avait doublement raison de se révolter ou de «se faire une raison» contre certains pour n'écouter que sa conscience, «cette terre natale de la vérité», comme l'expliquaient les sages. Il faisait bien et laissait les gens commérer, jaser, s'épancher en des discours invraisemblables, insensés. Ceux-là, étaient les plus malheureux à ses yeux, tous ces détracteurs!

Mon fils me lance: et ce fameux «Mémorandum»?
Ce document, exceptionnel et quelque peu singulier, est comme la cerise sur le gâteau. Une fois lu par ceux qui apprécient les bonnes idées, j'allais dire les idées fortes, sera l'occasion supplémentaire de se rappeler ce grand dirigeant qui, de toute son existence, a été l'esclave consentant de principes que beaucoup de responsables n'ont su ériger en mode d'emploi dans leur vie de tous les jours. Tu apprécieras, en parcourant les principaux chapitres du mémorandum, la grandeur de Kaïd Ahmed, sa vision politique, sa fermeté sur les principes, sa connaissance et son assurance vis-à-vis des problèmes de l'État, ceux-là mêmes dont on l'avait accusé de ne point les connaître, parce qu'inculte et donc insensible à tout mouvement de l'Histoire et des évènements qui marquent la vie du pays. Laissons place aux écrits qui demeurent, heureusement des «pièces à conviction» ou les preuves du caractère, de la culture politique et, on ne le dira pas assez, du courage de ce responsable qui «ne pouvait se soustraire au devoir quand la nécessité le commande, quand la conscience l'ordonne, quand l'intérêt majeur d'une cause commune l'exige».
Pour Kaïd Ahmed, mon fils, ce mémorandum était un appel à toutes les bonnes volontés et consciences politiques de la Nation qui privilégiaient les intérêts supérieurs du pays sur leurs carrières respectives. Le louvoiement politicien n'était pas «la tasse de thé» de l'ancien éducateur qui ne mâchait pas ses mots, mais les choisissait avec tout le soin et l'art du pédagogue et du politique, au sens noble qu'il était.
La gestion des cadres, par exemple - un des points de ce document - doit connaître une refonte totale pour éliminer le carriérisme et «l'aplatventrisme» qui nourrissent les mauvais compromis et les compromissions conçus et construits sur le dos de la Nation, de la société algérienne et de l'État. Cette exigence majeure avait atteint sa cote d'alerte déjà en 1972 quand Kaïd Ahmed dénonçait comment «une telle situation appelait inévitablement et favorisait l'envahissement du pays par une meute d'affairistes venus de tous les horizons et qui, par l'intermédiaire de compradores insatiables, tissaient des liens avec les réseaux dont l'emprise sur les centres de décisions du régime transformait le pouvoir en une illustration caricaturale n'ayant plus ni attache, ni aucun trait d'union avec l'Algérie résistante.»
Pareille analyse, vieille de près de 40 ans, est d'une telle actualité qu'il faut peser chaque mot de cette longue phrase, tant le combat de l'Algérie, aujourd'hui, contre le sous-développement, l'ignorance, la pauvreté, l'indigence culturelle, l'exclusion, les archaïsmes, la bureaucratie, la corruption et la négation des institutions et des compétences, est loin d'être gagné et que les mêmes causes produisent les mêmes effets, des dégâts incommensurables sur la perception de l'intérêt public, du civisme, des valeurs humaines, du respect de l'éthique. En fait, le temps n'a rien à y voir, quand il ne donne pas l'étrange et dangereuse impression qu'il n'avance pas. Quelle fraîcheur pour un texte de 1972! Seuls les Hommes, avec un grand H, savent poser les grandes et véritables équations pour construire une Nation qui a su arracher son indépendance..., mais n'a pas atteint son émancipation plurielle.

Donc, tu lances le débat, me dit-il?
Mais nous sommes en plein dans le débat, mon fils... Pourquoi avoir écrit un ouvrage de cette propension pour le classer parmi les reliques qui s'emplissent de poussière, quelque part, dans des bibliothèques désertées par le public...
Je voudrais que cet ouvrage fasse l'objet de bonnes discussions, selon l'esprit de Kaïd Ahmed qui croyait à la vertu du débat et qui le provoquait en toute circonstance. En effet, reprends, mon fils, les bonnes feuilles de l'ouvrage et tu remarqueras qu'il disait à certains responsables zélés qui préféraient la trique pour soi-disant corriger les étudiants en 1968:
«Le parti doit convaincre par le débat et non par la force. Attention, j'exige et je vous ordonne de faire en sorte qu'aucun étudiant ne soit puni pour ses idées..!»
Vois-tu mon fils, Kaïd Ahmed ne s'embarrassait d'aucun complexe, pour exercer et livrer sa réflexion sur des faits d'observation, sur l'expérience des hommes, de la vie pratique, des choses et des événements, dans le but de susciter le débat fécond et créer l'opportunité de fructueuses confrontations.
Enfin... «Kaïd Ahmed, homme d'État». Voici présenté un ouvrage qui ne fait pas office de tribunal, mais qui se veut un espace de réflexion dans un esprit de droiture et de justice, qui appelle à un débat que je souhaiterai fécond et profitable à la mémoire de Si Slimane et par extension à la mémoire collective si malmenée lorsqu'il s'agit d'établir ou de rétablir l'histoire des Hommes qui ont été les pionniers dans la construction du pays, qui ont fait la grandeur de notre Révolution.
Mesdames et Messieurs
J'ai imaginé sciemment ce dialogue avec mon fils, pour agrémenter la présentation de cet ouvrage qu'on ne peut, en réalité, résumer en quelques instants, fussent-ils très agréables, comme ceux-là mêmes qui nous réunissent dans cette ambiance fraternelle. Je l'ai présenté quand même, en m'excusant d'avoir abusé de votre temps et en vous remerciant de m'avoir suivi. Je n'ai pas tout dit, bien sûr. J'ai passé, volontairement, sur plusieurs choses importantes car je vous laisse le temps et le plaisir de les découvrir à travers ces pages que j'ai rédigées avec autant d'honnêteté que de sincérité.
Cela dit, et avant de passer à l'autre volet de notre sympathique rencontre, veuillez me permettre, de remercier personnellement et très chaleureusement tous ceux qui m'ont accompagné concrètement dans ce projet jusqu'à sa phase finale. Un mot simple, mais tellement grand que l'on peut exprimer en pareille circonstance, merci...
Merci également pour votre aimable attention.

Auteur

De Quoi j'me Mêle

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