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Lancement des épreuves écrites du premier baccalauréat de la filière Arts

La fibre artistique des candidats à l’épreuve

«Le 20e engagement du chef de l’État est désormais une réalité palpable», a affirmé le ministre de l’Éducation nationale.

L'heure était venue, hier, pour le lancement des épreuves écrites du premier baccalauréat de la filière Arts. Accompagné de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, le ministre de l'Éducation nationale a donné le coup d'envoi officiel des examens pratiques de la première version du baccalauréat de la filière Arts, depuis le Lycée national des Arts chahid Ali-Maâchi (Alger). Après avoir donné le coup de starter, le ministre a prononcé une allocution à l'occasion, durant laquelle il a exprimé son satisfecit par rapport aux préparatifs du rendez-vous. Belaabed s'est en effet félicité des conditions de déroulement de ces épreuves, organisées pour la première fois dans l'histoire de l'Algérie, en application de la décision du président de la République, portant création d'un lycée des arts». Poursuivant, le ministre s'est dit «optimiste» quant au succès de cette première version du baccalauréat artistique, cela au regard des «efforts consentis, en coordination avec le département de la Culture et des Arts, en matière d'accompagnement et de promotion de cette nouvelle filière». Dans ce sillage, il y a lieu de rappeler que le premier responsable de l'Éducation nationale, Abdelhakim Belaabed applique à la lettre le programme du président Tebboune. Le lancement des épreuves en question intervient après la concrétisation d'une panoplie de mesures historiques voulues par le chef de l'État pour la promotion de l'École pour ne citer que les augmentations de salaires au profit des travailleurs du secteur, la titularisation des enseignants contractuels, le recrutement des enseignants de langue anglaise dans le cycle primaire et ceux de l'éducation sportive et physique, ou encore la numérisation. Quant au déroulement des épreuves, et selon les détails du programme prévu, celles-ci ont concerné 146 candidats issus des différentes wilayas du pays.
Les bacheliers inscrits dans cette filière sont répartis sur quatre spécialités, à savoir celle de la musique, le cinéma/audiovisuel, le théâtre et les arts plastiques. Belaabed n'a pas manqué l'occasion de relever «la forte volonté de réussir perçue chez les candidats». Sur ce registre, le ministre a exprimé son souhait de voir «les résultats de cet examen refléter le taux de réussite réalisé par ces élèves lors de la graduation scolaire entre les 2e et 3e années secondaires, à savoir plus de 90%».
De son côté, la ministre de la Culture et des Arts s'est félicitée de la concrétisation de ce «projet (Lycée des arts) unique en son genre aux niveaux arabe et africain». La ministre a également assuré que son secteur «continuera à accompagner ces élèves après le baccalauréat, en mettant à leur disposition les structures et établissements spécialisés». Soraya Mouloudji, n'a pas manqué de mettre en avant les efforts consentis en faveur de la promotion de ce lycée. Cela avant de rappeler l'ouverture de l'Institut national supérieur du cinéma, qui accueillera les élèves du Lycée des arts (spécialité cinéma/audiovisuel), outre
l'École des beaux-arts que le ministère oeuvre à ériger en École nationale supérieure des arts plastiques. Il y a lieu de noter par ailleurs, que la filière Arts a été créée par le ministère de l'Éducation nationale
dans l'enseignement secondaire général et technique, à partir de la précédente l'année scolaire (2022/2023). Le but étant de développer et d'affiner les talents artistiques des élèves et de leur inculquer une culture leur permettant de mieux appréhender les dimensions culturelle, historique et esthétique de la création artistique.

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