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Il s’approche des 100 dollars

Le Brent en hausse

Les prix du gaz poursuivent également leur hausse. Ils évoluaient toujours à des niveaux très hauts poussés par la perspective d'une interruption momentanée des livraisons de gaz russe via Nord Stream 1, alimentant les inquiétudes quant à l'état de l'économie.

Les prix du pétrole brut ont augmenté en début de séance, aujourd'hui, à la suite de déclarations tenues par l'Arabie saoudite selon lesquelles il serait « possible » de réduire la production pour rétablir la stabilité sur les marchés de l'énergie. Lundi, le ministre saoudien de l'Energie, le prince Abdelaziz Bin Salmane, a fait savoir que « les fluctuations sur des marchés pétroliers et la faible liquidité donnaient de mauvais signaux, à un moment où il fallait être le plus clair possible ». Le ministre a affirmé que l'alliance OPEP+ disposait de moyens dans le cadre des mécanismes de l'annonce de coopération, qui lui permettent de faire face à ces défis et d'orienter les marchés, ainsi que de réduire la production à tout moment. Suite à ces déclarations, les prix à terme du Brent pour livraison en octobre ont augmenté de 0,85%, soit 82 cents à 97,28 dollars le baril. Les prix des contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en octobre ont également augmenté de 1,04% soit 93 cents à 91,30 dollars le baril. Les prix internationaux du pétrole connaissent des fluctuations entre 110 et 93 dollars le baril de Brent, en raison des craintes de récession qui font pression sur les prix, tandis que les sanctions occidentales contre la Russie font grimper les tarifs. Les prix du gaz poursuivent également leur hausse. Ils évoluaient toujours à des niveaux très hauts poussés par la perspective d'une interruption momentanée des livraisons de gaz russe via Nord Stream 1, alimentant les inquiétudes quant à l'état de l'économie. Ce matin, le contrat à terme du TTF néerlandais, référence du marché européen du gaz naturel, s'échangeait à 274,505 euros le mégawattheure (MWh), en très légère baisse de 0,81%. La veille, le TTF avait culminé à 295 euros le MWh. Son homologue britannique s'est également envolé, atteignant lundi 567,98 pence par thermie, une unité de quantité de chaleur. De tels prix n'avaient plus été enregistrés depuis mars, lorsque le gaz naturel européen et britannique avaient été propulsé jusqu'à leurs plus hauts historiques.

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