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Une nette amélioration de l’espérance de vie des Algériens

L’Algérie gagne la bataille du développement humain

L’État a pris d’une manière sérieuse la question sociale des Algériens en optant pour une politique visant à répondre aux besoins de l’ensemble des citoyens dès l’indépendance du pays.

L'espérance de vie des Algériens s'est nettement améliorée. Ce sont les statistiques du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et appuyées par les chiffres de l'Office national des statistique (ONS).
L'ONS a souligné dans ce sens que «l'espérance de vie du citoyen algérien est passée de 47 ans durant les premières années de l'indépendance à plus de 76 ans en 2022, grâce à la prise en charge sanitaire et à l'amélioration des conditions de vie pendant six décennies ayant reflété le caractère social de l'État», atteste-t-on. Le document de l'organisation onusienne (Pnud) a confirmé ce constat relatif à l'indice de développement humain en déclarant que «En Afrique, l'Algérie s'est positionnée au 3e rang, derrière les Seychelles et l'île Maurice, devançant l'Égypte et la Tunisie à la quatrième place, la Libye au 5e rang, l'Afrique du Sud au 6e rang et le Maroc, classé à la 10e place», note-t-on. Les critères adoptés par les organisations internationales et régionales pour arriver à des conclusions en rapport avec l'indice de développement humain, sont basés, sur l'évaluation de la santé, l'éducation et le niveau de vie. Ces indices sont justifiés dans le cas de l'Algérie dont la situation n'est plus comparable avec la période coloniale et post-indépendance.
L'ONS a entamé une étude selon les mêmes critères développés par l'organisation onusienne, à savoir le Pnud. Dans ce sens, l'ONS a précisé que «la hausse du nombre d'établissements hospitaliers et de proximité, de même que l'amélioration de la qualité des services fournis au citoyen dans le domaine de la santé et des conditions de vie du citoyen, en facilitant, notamment l'accès au logement et à l'eau potable de manière adaptée au développement démographique ont constitué autant de facteurs ayant favorisé le passage de l'espérance de vie du citoyen algérien passée de 47 ans durant les premières années de l'indépendance à 76,5 ans en 2022», affirme-t-on.L'indice de développement humain est considéré comme le seul critère en mesure d'évaluer une nation au plan de ses besoins et de ses demandes du point de vue de prise en charge sociale, économique et culturelle. L'épanouissement humain se mesure par rapport à la couverture en matière de prise en charge sanitaire et au niveau de l'éducation, c'est-à-dire l'enseignement.Ce qui est sûr, c'est que l'État a pris d'une manière sérieuse la question sociale des Algériens en optant pour une politique visant à répondre aux besoins de l'ensemble des citoyens dès l'indépendance du pays. C'est ce caractère social de l'État qui a été déployé d'une manière concrète à travers des plans de développement qui ont vu «Les différents investissements engagés dans le secteur de la santé, notamment pour quintupler le budget durant les dernières années ont abouti à des résultats palpables, grâce aux enquêtes nationales ayant permis aux décideurs de mettre en place des programmes sanitaires adaptés», mentionne-t-on.
Il faut rappeler que l'Algérie s'est attelée durant les premières années de l'indépendance à éradiquer les maladies virales via la mise en place d'un calendrier national des vaccins. Les conclusions des enquêteurs de l'ONS appuient cette lecture en expliquant que «Le mérite revient au calendrier national des vaccins, qui a habilité l'Algérie non seulement à la concrétisation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) des Nations unies 2015, en enregistrant moins de 25 cas de décès d'enfant pour chaque 1 000 naissances vivantes, mais à décrocher plusieurs attestations délivrées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière d'éradication des maladies virales», affirment les enquêteurs de l'ONS.
L'Algérie a subi des attaques quant à sa politique de développement humain par des médias et des organisations étrangères. Ces attaques calculées visaient à estomper le rôle entreprit par les autorités publiques algériennes depuis l'indépendance à nos jours en matière de développement humain. Ces attaques faisaient dévoyer les réalités en se référant à une lecture répondant à un agenda et une grille fallacieuse de certains organismes spécialistes dans la désinformation et la déformation des enjeux de développement en focalisant leur intérêt sur l'approche politicienne visant à manipuler les masses et dénaturer les réalités socio-économiques du pays même si cela supposerait de recourir au mensonge et à l'imposture. 

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