L'Expression

{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Premier tour de manivelle de «Zighoud Youcef» de Mounes Khemmar

Ali Namous dans le rôle principal

C'est à Constantine qu' a eu le démarrage du tournage de ce long métrage fiction, portant sur un des grands chahids, responsable du FLN, combattant pendant la guerre d'Algérie.

Le premier tour de manivelle du film «Zighoud Youcef», réalisé par Mounes Khemmar, a eu lieu cette semaine à Constantine. Le jeune comédien Ali Namous y campe le rôle principal. Au casting algérien, on retrouve aussi Hassan kechache, Sara La3lama, Mohamed Zahoui Tahar et Abdenour Baâmer.
Le coup d'envoi de la réalisation de ce film a été donné ce 19 août dans la ville des Ponts, Constantine. C'est le deuxième tournage pour Ali Namous après celui de «196 mètres» de Chakib Taleb Bendiab, et dont le tournage a eu lieu au mois de juillet dernier. Ali Namous compte plus d'une participation au cinéma.

Deuxième tournage pour l'acteur
On peut citer en 2021 dans le film «Le déboussolé» de Youcef Mansour, «Le monologue» de Yanis Koussim, dans la même année, «Sarab» de Akram Zaghba en 2019 et «La fille du quartier» de Ammar Sifodil, tourné en 2018. Ali Namous a également joué pour le compte de la télévision, notamment dans «Ibn Badis» d' Ammar Mohcen, «Tilka El Ayam» de Mohamed Gok et enfin dans la série «Liyem» de Nassim Boumaïza. Au théâtre, nous avons pu l'apercevoir dans La révolution de Belahreche de Sonia Mekiou, «L'Année de la corde» de Djamel Marir, «Devant les murs de la ville», également de Sonia Mekiou et enfin dans «Aladin et la lampe magique» de Saber Amiour. À noter que le tournage du nouveau film du réalisateur Mounes Khemmar qui est aussi producteur (Saphina Film) intervient suite à la réunion faite cette seamine, par la ministre de la Culture, Soraya Mouloudji avec des acteurs du milieu du septième art algérien où il a été débattu de certaines questions de l'heure dont celles qui restaient en suspens ces deux dernières années et qui constituaient un véritable point noir au tableau du cinéma algérien. Aussi, à l'issue de ces pourparlers auxquelles ont pu assister, notamment Belkacem Hadjdadj et Bouelam Ziani, le ministère de la Culture et des Arts a annoncé dans un communiqué, publié sur sa page, la prolongation du mandat de la commission du Fonds national pour le développement des arts, et de la technique et de l'industrie du cinéma (Fdatic), initialement clôturé en décembre 2021, qui devra poursuivre l'études des projets proposés et en accueillir de nouveaux.

Le Fdatic reprend du service
Cette décision a été annoncée ainsi suite à cette rencontre décisive entre la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji et des producteurs et professionnels du cinéma et ce, après avoir été interpellé sur le sors du Fdatic, notamment, il y a deux mois. Cette dernière avait promis en effet, des solutions pour sortir du marasme ambiant qui subsistait, à cette époque, marquée surtout d'un flou artistique sans précédent qui entourait le silence des autorités concernant la disparition du seul fond d'aide à l'industrie cinématographique.
Aussi, nous apprend-on, Le Fdatic devra également «reverser les financements en suspens pour les projets en cours de réalisation et ceux finalisés», après validation des procédures nécessaires, et «récupérer les fonds alloués aux projets inachevés depuis plus de dix ans», précise le communiqué. Lors de cette rencontre, la ministre a également annoncé la levée du gel sur l'acquisition de matériel de numérisation au profit du Centre algérien de la cinématographie et la relance du projet de création d'un centre des archives cinématographiques, un nouvel acquis pour la préservation du patrimoine du cinéma algérien. Soraya
Mouloudji a annoncé également l'organisation de sessions de formation dans les métiers du cinéma en partenariat avec l'Association des producteurs algériens de cinéma, et l'organisation d'ateliers de réflexion avec les professionnels du secteur durant le dernier trimestre de l'année en cours. Il est bon à savoir que Mounès Khammar est producteur algérien né en 1975.
Il dirige depuis 15 ans, Saphina Productions. Il a entres autres co-produit le film «La trahison» de Philippe Faucon, et il a été assistant réalisateur sur le film de Nadir Moknèche, «Viva Laldjérie». Il a à son actif aussi la réalisation du film court métrage «Le dernier passager» ainsi que le fameux clip sur Warda el djazaïriya entre autres.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours