L’Algérie et son or
Le grand potentiel aurifère dont jouit l’Algérie peut constituer une réelle alternative en ces moments de crise induits par l’affaissement des prix des hydrocarbures. Dans un article publié le
26 décembre dernier sur ces mêmes colonnes et dont le titre « Quand l’Algérie abandonne son or » ne reflète nullement le contenu du texte, le spécialiste Arezki Zerouki a expliqué dans le menu détail comment, en plus de l’or, des minerais comme les phosphates, le fer, le plomb-zinc, la barytine et la bentonite peuvent constituer des produits à forte valeur ajoutée pour le pays. « Le développement du secteur induira à coup sûr un développement des industries chimique, métallurgique, mécanique, électronique », a-t-il écrit à ce propos, ajoutant que ceci générera « un gain en devises, la création d’emplois directs et indirects et un développement local et régional qui alimentera les collectivités locales ». Voilà donc qui doit lever toute confusion ou mauvaise interprétation quant audit titre qui appartient exclusivement à la rédaction.
