Le MOC sans convaincre

Constantine. OPOWChahid-Hamlaoui. Temps clément. Organisation parfaite. Affluence moyenne. Arbitre de M. Haddad, assisté de MM. Kebaïli et Isker, 4e arbitre, Sediki.
Expulsion: Khadir (MOB)
Avertissements: MOC : Sedrati et Aaouachria
MOB : Khadir
Buts : Merazka (22´), Talhi (90´+1) (MOC)

Composition des équipes
MOC: Makhlouf - Maâmar - Aouachria - Boulemdaïs - Fayçal - Guermeche (Meguehout) - Merazka - Boutria (Talakamboua) - Sedrati (cap) - Boulemdaïs Hamza (Kebaïli) - Hadj Kaddour.
Entr. : Mecheri

MOB: Hebbache - Fellahi - Meddour (Bouchetta) - Adjas - Boussenina - Hachi (Gharbi) - Azoug - Ziad - Marrek - Khadir - Moussa Embarek.
Entr.: Bouaziz

Le Mouloudia de Constantine a arraché une victoire après une des plus faibles prestations présentées depuis le début du championnat sur la place de Hamlaoui stadium. Et oui,
parfois il y a des rencontres à mettre aux oubliettes. C´est le cas du match qui a opposé le Mouloudia constantinois aux Bougiotes, tant les deux teams ont fourni un spectacle peu emballant au grand dam des présents. Le MOC pourtant a dominé son adversaire du jour mais ses joueurs ont péché des fois par manque de réalisme et d´autres par un jeu décousu, même si Merazka (22´) et Talhi (90´+1) ont donné une autre tournure au résultat final. Ainsi, il a fallu attendre la 22e minute pour voir Merazka reprendre d´une tête victorieuse un retrait bien ajusté de Boufria. Les visiteurs tétanisés par des problèmes internes, n´ont fait que de la figuration sur la pelouse en repoussant un peu mieux les timides assauts qui s´ensuivirent surtout de Boulemdaïs du jeune Merazka. La seconde entame s´est tournée à la démonstration des joueurs mocistes au milieu du terrain en portant rarement le danger devant la cage de Hebbache, ce qui les amena à tomber ensuite dans le jeu inefficace et les gestes inutiles, jusqu´à l´incorporation de Talhi qui a permis aux locaux de se mettre définitivement à l´abri à la première minute supplémentaire. La note en restera là mais les supporters mocistes restèrent sur leur faim se demandant en même temps pour la seconde fois, pour quelle raison leurs protégés montraient un visage aussi décevant.