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SÉLECTION NATIONALE DE HANDI-BASKET

La situation financière des joueuses régularisée

La FAH a entamé les démarches nécessaires pour régulariser la situation financière des cinq joueuses de Ouargla ayant boycotté le dernier stage de l'EN de handi-basket à Sétif pour primes impayées depuis 2015, selon le président Mohamed Hachefa.

Cette sélection féminine a effectué du 24 au 29 mars son premier stage de préparation en prévision du Championnat du monde-2018 prévu à Hambourg (Allemagne), mais sur les 14 convoquées, cinq n'ont pas répondu à l'appel. Il s'agit de Djamila Hamgani, Nourhane Boublele, Nawel Khadir, Samiha Abdelaali et Nadjet Menasri qui constituent l'ossature de cette équipe, championne d'Afrique en titre.
«Je vous confirme que les primes de résultats et les indemnités de stages datant de 2015 et non perçues jusqu'à aujourd'hui par les éléments de l'Equipe nationale et leur staff, sont les réelles raisons qui ont poussé certaines joueuses à boycotter ce premier stage de préparation à Sétif», a expliqué à l'APS Mohamed Hachefa, ajoutant que la fédération avait reçu un courrier, signé par les cinq athlètes, expliquant les raisons de leur absence.
«Je me demande pourquoi les athlètes n'ont pas réclamé leur dû avant. Maintenant, on est devant un fait accompli et on a entamé les démarches nécessaires afin de pouvoir régler quelques arriérés des concernées, mais pour ce qui est des indemnités de stages postérieurs, on ne peut pas les payer pour l'instant», a tenu à préciser le président de la FAH.
Certaines sources avaient affirmé que le refus des joueuses de Ouargla de rejoindre leurs coéquipières était pour exiger le changement du staff technique, mais le président du club handi-basket de Ouargla, Mohamed Tahar Hadjadj, a réfuté ces allégations, assurant que les raisons de cette défection étaient «purement financières».
«Les handi-basketteuses de Ouargla, à l'instar peut-être de beaucoup d'autres athlètes, sont pour la plupart des femmes au foyer sans revenu, se trouvant incapables de couvrir les frais de déplacement.
Il y a aussi des considérations personnelles qu'elles révèleront ultérieurement», a souligné Hadjadj.

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