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Jeux paralympiques

L’IPC refuse le huis clos

À une année de la cérémonie d’ouverture, du Comité international paralympique et son président se disent prêts à revoir leur copie.

Sans la pandémie de coronavirus, l’événement aurait dû se tenir du 25 août au 6 septembre. Il a été repoussé d’une année. Mais, comme son pendant olympique, il reste enveloppé d’un épais brouillard et d’une série de questions sans réponses. Andrew Parsons, le président du Comité international paralympique (IPC), le répète sans lassitude depuis plusieurs jours : «Tout peut encore arriver, le meilleur comme le pire. Les scénarios restent nombreux. Nous n’avons pas déterminé une date précise pour prendre une décision quant à la tenue ou non des Jeux paralympiques, mais si nous étions amenés par les circonstances à les annuler, nous le ferions le plus tard possible.» Le dirigeant brésilien n’en fait pas mystère : l’avenir des Jeux paralympiques est directement lié à celui des jeux Olympiques. Pas question, non plus, d’envisager une édition paralympique disputée à huis clos. L’IPC s’y refuse, comme le CIO. «Si nous pouvons maintenir les jeux l’année prochaine, ils se dérouleront devant des spectateurs, insiste Andrew Parsons. Leur présence sur les sites est fondamentale, elle fait partie intégrante de l’expérience paralympique. » À une année de la cérémonie d’ouverture, l’IPC et son président se disent prêts à revoir leur copie. Emboîtant le pas du CIO, ils travaillent avec le comité d’organisation japonais à une « rationalisation » de l’événement. Mais Andrew Parsons est catégorique: les fondements des Jeux paralympiques de Tokyo ne seront pas touchés. « Nous ne réduisons pas le nombre d’athlètes, nous ne réduisons pas le nombre de sports et nous ne réduisons pas le nombre d’événements. »

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