L'Expression

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Y’a d’la vie et d’ l’espoir!

À la cour d'Alger, le quotidien est au beau fixe. Depuis maintenant neuf mois, fréquenter les guichets, salles d'audience et bureaux de la cour d'Alger, n'est plus une galère. Finies les visites «vierges» dans les couloirs et nombreux bureaux, pas forcément pleins de monde. Dès leur prise den fonction, en août 2023, Douniazed Guellati, la dynamique présidente de la cour, en compagnie du redoutable Lotfi Boudjemââ, procureur général se sont vite attaqués aux éléments perturbateurs qui empêchent les services d'avancer.
La mise hors d'état de nuire de certains individus, qui étaient là, se disant prêts à rendre «service», aura été le déclenchement de l'opération «nettoyage» de la cour. Les deux responsables ont fait le choix d'apporter des changements rapides, sans trop changer, les femmes et les hommes, qui connaissaient fort bien les mécanismes et la démarche des services. En attendant le rajeunissement des effectifs, les deux 1ers magistrats de la cour la plus surveillée par la chancellerie, et pour cause, ont mis le poids sur le renforcement des structures déjà existantes. Ensuite, la vigilance accrue des chefs de service qu'on a pris soin de recadrer, au lieu de les muter dans d'autres juridictions, histoire de changer d'air, mais pas de pratiques. Côté magistrats, notons l'élévation du nombre de procureurs - généraux, anciens efficaces et intègres procureurs de la république. Les adjoints de Lotfi Boudjemââ, tiennent bien la corde, et c'est bien pour le nouveau souffle du parquet général d'Alger. Sous l'ère de l'ancien et excellent procureur-général près le parquet de la capitale, Belgacem Zeghmati, plus de 80% des procureurs-adjoints ont connu, en 2019, une promotion acquise dans le «feu» de l'action quotidienne des parquetiers. Ce ne serait pas étonnant que pareille aventure, si de jeunes procureurs adjoints d'Alger, connaissaient le même sort que les Anwar Ben M'Hidi, Karim Koussa, Hamid Tahri, Djamel Lidjaoui, Med, Zouhir Talbi, etc. Qui avaient pris leurs fonctions à Mostaganem, Chleff, Msila, Saïda et Médéa.
La justice, dans notre pays irait beaucoup mieux, si par exemple, une vraie indépendance des juges d'instruction, et du siège, était réellement et concrètement, accordée au peuple. Mais est-ce vraiment le moment?

De Quoi j'me Mêle

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