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SOUTIEN AU MOUVEMENT POPULAIRE

La famille Yaha appuie le Hirak

«Ce Hirak populaire porté essentiellement par une jeunesse passionnée et avide de liberté, de justice et de démocratie.»

Le mouvement populaire, depuis son début, a suscité de multiples soutiens de la part de nombreuses familles révolutionnaires, qui ont retrouvé dans le Hirak, les principes de la lutte contre toutes formes d'usurpation de l'identité algérienne. Fidèles à la mémoire du défunt Abdelhafid Yaha, dit Si l'Hafid commandant de la Wilaya III historique et fondateur du FFS, son épouse et les membres de sa famille, se considérant comme une partie prenante de ce Hirak, ont tenu à exprimer leur soutien indéfectible au mouvement populaire «pacifique et à la jeunesse algérienne, pour l'édification d'une nouvelle République et le changement du système politique en place»
Dans sa contribution, la famille Bachir Yaha, relève l'opposition du peuple à 5e mandature du président sortant Abdelaziz Bouteflika, et sa détermination à changer le système politique, et décider seul de son destin. «Ce Hirak populaire porté essentiellement par une jeunesse passionnée et avide de liberté, de justice et de démocratie, a émerveillé et continue de susciter l'admiration du monde entier par son caractère pacifique, son union et sa maturité politique», précise la famille Yaha.
Dans cet élan de solidarité au mouvement populaire, la famille Yaha rappelle le parcours du défunt Si l'Hafid qui a toujours accompagné «tous les mouvements d'essence démocratique et ce depuis la création du FFS en 1963, en passant par les évènements du 5 octobre 1988, jusqu'au mouvement des Aârouch en 2001». A cet effet, ils se référent à un passage du tome II de ses Mémoires, où il a évoqué l'importance des défis qui attendent les générations futures «après un demi-siècle de luttes, de larmes, de solidarité, d'espoir, et parfois de trahisons, l'Algérie libre dont nous avons rêvée dans les maquis et dans les salles de torture reste à conquérir, c'est le défi qui attend les nouvelles générations». Dans le même ouvrage, le défunt est revenu avec émotion, sur la valeur de la liberté: «Au crépuscule de ma vie, je mesure, plus que jamais, la valeur de la liberté, de la dignité et de la justice, qu'aucun bien matériel ne peut remplacer. J'estime avoir accompli ma part de combat pour une Algérie meilleure. Aux jeunes générations de continuer la lutte pour hisser ce pays au niveau des nations modernes.»

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