L'Expression

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Interrogé par la police française pour une affaire de droit commun

Amir DZ mis sous contrôle judiciaire

L'affaire de Boukhors n'est rien d'autre qu'une procédure relevant du droit commun, suite à des plaintes de personnes privées.

L'interpellation de Amir Boukhors connu par le sobriquet de «Amir DZ», avant-hier, à Paris par la police française, a été abordée d'une manière suspicieuse et hypocrite par les affidés et les adeptes de Rachad et autres conglomérats champions de l'imposture et des mensonges des plus vils.
Certains veulent donner à cette arrestation un caractère politique en octroyant à ce quidam un statut d'«opposant politique» dans l'objectif de l'absoudre et le blanchir de ses crimes qui relèvent strictement du droit commun.
La méthode est vieille, mais aussi caduque de par les veuleries et lâchetés dont la nébuleuse de Rachad et ceux qui la courtisent dans l'espoir de bénéficier d'un strapontin ou d'un statut précis. En aucun cas les pourfendeurs de la vérité et les ennemis de l'éthique et de la déontologie, que ce soit au plan politique ou au plan moral, n'avaient abordé la question de chantage et de l'escroquerie qui sont considérés pour ce quidam comme un moyen de prédilection pour chanter ses «proies» et ses victimes en recourant à la méthode vile qui consiste à faire de l'intimité des gens et de leur vie privée un mode opératoire pour les extorquer et les salir après.
Sachant que le dossier de ce «harrag» n'est pas du tout reluisant ni défendable, les sbires des islamo-ongistes font tout pour transformer l'affaire de Boukhors en une affaire d'opposant politique par excellence.
La police française aurait interpellé le concerné pour des délits qui ont trait à «la publication de vidéos à caractère pornographique et d'enregistrement audio de personnes privées sans leur consentement». Ces faits, il faut le rappeler, sont punis par la loi française.
Il est question de plusieurs plaintes qui auraient été déposées par des personnes et une association lesquelles auraient accusé Boukhors d'avoir utilisé leurs images et photos dans le «Site Payant Patreon», une espèce de plate-forme pornographique où il aurait diffusé des images et des vidéos de personnes en s'attaquant ainsi à leur vie privée et à leur intimité. Outre cette plate-forme, la police française et après perquisition du domicile du concerné, aurait découvert des enregistrements qui auraient été utilisés par Boukhors dans le but d'exercer un chantage et soutirer de l'argent à ses victimes.
Donc, l'interpellation a été actionnée sur la base de délit inhérent à l'atteinte à la vie privée des personnes. Ce qui veut dire que l'affaire de Boukhors n'est rien d'autre qu'une procédure relevant du droit commun. Même si certains pernicieux veulent dissimuler les affaires de leur mutant dans la perspective de les dénaturer de leur contenu juridique en l'«adaptant» sous forme d'une affaire politique pour éviter le soi-disant transfert ou son extradition vers le pays d'origine. Les Zitout et les valets des officines étrangères s'activent par leurs supercheries et leurs mensonges pour donner un caractère outre que celui qui est abordé par la police française en insistant sur les «sept mandats d'arrêts» enclenchés par l'Etat algérien. Une manière de noyer le poisson dans l'eau et blanchir Boukhors de ses affaires relevant du droit commun. Le procureur de Nanterre à relaxé Boukhors en attendant qu'il soit jugé en cour d'appel. C'est une procédure judiciaire ordinaire dont l'essentiel sera traité au niveau de la cour d'appel qui statuera sur son cas sur la base de ses chefs d'accusation. Donc, le recours au jeu hypocrite par certains qui veulent complètement détourner l'attention sur l'affaire en la présentant comme étant une affaire politique, cela ne pourrait pas se produire, pour une simple raison, c'est que Boukhors fait l'objet d'une plainte en France par des personnes qui résident en France pour des accusations de droit commun que personne ne peut dissimuler ou faire adapter d'une manière insidieuse et faire de Boukhors une victime d'un engrenage politique et de manipulation contre sa personne. La justice française aura à traiter les faits, les plaignants existent et leur plainte fait office d'un document avéré. Quant aux charlatans de la politique, le temps est en mesure de démonter leurs mensonges et leurs supercheries.

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