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Clôture de la 12ème édition du Festival international du théâtre de Béjaïa

Hommage et soutien à la Palestine

Le tomber de rideau sur cet incontournable rendez-vous artistique a été dédié à la Palestine.

Dans une ambiance plus sombre que festive, en raison de la solidarité agissante avec le peuple palestinien, la cérémonie de clôture a été marquée par l'invitation officielle d'une délégation palestinienne de la communauté universitaire de Béjaïa, laquelle a été honorée par la séance de clôture, prévue samedi, et avancée à vendredi, en raison de son caractère festif. Du coup, le baisser de rideau du festival s'est déroulé en cette même soirée, marquée par les allocutions de Slimane Benaïssa, commissaire du festival, qui, à l'occasion, a remercié tous les participants à cette 12ème édition, le ministère de la Culture et des Arts, les autorités locales, la presse, les sponsors ainsi que tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la tenue et à la grande réussite de cette nouvelle session. C'était aussi une cérémonie réservée aux deux hommages programmés, à savoir l'un à Fatiha Soltane et l'autre à Mouhoub Latrèche. C'est Ali Moussaoui qui avait la tâche de réaliser le film-portrait sur le parcours de la comédienne Soltane, lequel a retracé, d'une manière succincte, la vie et le parcours de cette icône. La reconnaissance à Mouhoub Latrèche, interviewé juste après. Un hommage à la juste valeur de l'homme de théâtre, metteur en scène de la pièce Moh Teri, qui a consacré toute sa vie au 4e art. Puis vint le tour des honneurs réservés au wali, à la direction de la culture, à l'APW et à l'APC de Béjaïa, au P-DG de l'EPB entre autres, mais le plus marquant est celui accordé en l'honneur du patron de la laiterie Soummam, El Hadj Hamitouche, qui a tenu à prendre part à la cérémonie de clôture d'un festival qui a connu une très grande réussite... ainsi qu'aux commanditaires (financiers) de cette édition. Après, les discours les hommages et les diplômes d'honneur décernés, place à la dernière représentation théâtrale de cette édition, à savoir L'Académie du rire de Syrie... une pièce de presque deux heures de temps qui met à nu la bureaucratie, qui ronge nos administrations à tous les niveaux. Un spectacle qui a accroché le nombreux public présent tout au long de la (re)présentation. À la fin de cette dernière, chaleureusement applaudie par le public, honoré à juste titre par le commissaire du festival et le directeur de la culture de Béjaïa, ces derniers ont accueilli, sur la mythique scène du théâtre Abdelmalek Bouguermouh, une délégation d'étudiants palestiniens à laquelle est dédiée toute cette édition, en signe de soutien et de solidarité avec le peuple palestinien frère, pour manifester la solidarité de l'Algérie avec lui, sur fond de la chanson de Marcel Khalifa: «Wa Ana Amshi», reprise en choeur par l'assistance, plus que jamais solidaire... 

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