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Il suit au quotidien l’avancée des travaux du stade de Tizi Ouzou

Le ministre de l’Habitat ne lâche pas prise

Après le renforcement du chantier par une nouvelle entreprise, le ministre a imposé un rythme soutenu pour la réception de l’infrastructure dans les délais.

Il n'est pas question de dépasser les délais fixés. Le ministre de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi suit au quotidien l'avancée des travaux du nouveau stade de Tizi Ouzou. Hier, il était en visite, au niveau de l'infrastructure de 50 000 places pour s'enquérir de visu de l'état de ce chantier qui a trop tardé comme celui des autres stades d'ailleurs. La visite d'hier de Belaribi à Tizi Ouzou était la seconde en l'espace d'une semaine. Après le renforcement du chantier par une nouvelle entreprise, le ministre a imposé un rythme soutenu pour la réception de l'infrastructure dans les délais.
En effet, lors de sa dernière visite, Le ministre donnait soixante jours aux entreprises réalisatrices pour livrer les dernières retouches. Sur le chantier, le ministre s'est enquis de la cadence des travaux et les différentes entreprises étaient à pied d'oeuvre pour respecter les délais impartis et ne relevaient aucune difficulté ou obstacles notables et à même de ralentir le rythme. Le suivi donne ses fruits grâce notamment au travail soutenu fait pour lever tous les obstacles.
Des obstacles que les entreprises réalisatrices avaient, pour rappel, évoqué lors de la première visite sur le site de Belaribi, au mois de mars dernier. Il avait promis de lever tous les obstacles mais, avait opposé un niet catégorique à la demande de recourir à l'importation de certains matériaux de construction souhaités par les entreprises. Hier, les travaux étaient presque aux touches finales avec la pose du gazon et des gradins. Les réseaux divers étaient également à la fin des chantiers. Mais, le ministre ne baisse pas le niveau de vigilance car les retards peuvent survenir de manière inattendue. Le stade de 50 000 places est une légende vivante en matière de retards, d'ajournement et bien sûr de rallonges budgétaires. Au lancement, il y a quelques années, le coût était estimé à 18 milliards de dinars de dinars et aujourd'hui on est à plus de 35 milliards.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le stade de 50.000 places de la ville de Tizi Ouzou est un complexe omnisports qui n'a pas qu'un stade de football. b Dotée d'une piste pour l'athlétisme, l'infrastructure contient également un terrain pour les sports collectifs comme le basket-ball, le handball et le volley-ball. L'infrastructure est également dotée d'une piscine olympique. Somme toute, le stade peut accueillir les plus grandes compétitions internationales.
À noter aussi que les supporters de la JSK attendent la réception de ce stade avec impatience pour voir leur équipe évoluer, enfin, sur un terrain aux normes internationales. La JSK qui a représenté dignement l'Algérie en remportant de nombreuses coupes africaines mérite un terrain à la mesure de sa notoriété. Un terrain que les pouvoirs publics sont déterminés à livrer dans les plus brefs délais. 

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