L'Expression

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Une page à tourner

Depuis plus d'une quinzaine de jours, au lendemain des fêtes de l'Aïd Esseghir 1444, pour semble-t-il, tenter de dégoter les magistrats susceptibles d'occuper les nombreux et difficiles postes spécifiques, et où ces mêmes magistrats auront la lourde responsabilité, de mener le train à bon port.
Il est vrai que la chancellerie avait commencé avec l'avènement du «Hirak - béni» à rajeunir le corps de la magistrature vouée à tous les quolibets de la vox populi, qui n'hésita pas à crier à l'intention des magistrats de «tous dégager», un slogan dur à avaler, le populaire du «irouhouh Gaâ» pour, entre autres, les magistrats modèles et, Allah Seul, savait qu' il y en avait, depuis les tribunaux jusqu'au Conseil d'État, en passant par la Cour suprême et les cours d'appels.
Certes, des efforts ont été déployés par les deux ministres de la Justice post-hirak, Belgacem Zeghmati, puis Abderrachid Tabi.
Les deux responsables, pris de court, un à un, n'ont pas eu le temps nécessaire de s'occuper des magistrats, tant l'oeuvre fut difficile à remettre en route, avec, d'abord, les procès dits de la «bande».
Il faut rappeler qu'il a fallu ramener des magistrats de l'Algérie profonde, c'est-à-dire des magistrats inconnus et «neufs» pour la capitale, et donc, loin de toutes manigances, d'où qu'elles proviennent.
Finis donc, les «ingérences et autres coups de fils suspects» se sont dits et murmurés les citoyens incrédules devant les jeunes magistrats rappelés en renfort pour la bonne oeuvre de l'assainissement du pays pris en otage un long moment, avant que les nouveaux maîtres du pays, enhardis par la sortie dans les rues, de millions de citoyens en février, mars avril et mai 2019, réclamer tant et tant de sensées justes demandes de redressement du pays.
Ce fut fait et bien fait, avec au passage de l'attendue «casse», que le régime a mis sur le dos du fameux et millénaire proverbe qui dit: «Qu'on ne fait jamais d'omelette, sans casser d'oeufs!»
Quatre années se sont écoulées depuis l'installation de «l'Algérie nouvelle» et les gens attendent les 1èrs bourgeons en cette mi-mai 2023.

De Quoi j'me Mêle

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