L'Expression

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Un quota d'idées

Au cours du débat qu'ont animé Amar Rouainia, président de la chambre «foncier» de la Cour suprême où un scandale venait d'être découvert par le premier président Abderrachid Tabi, au cours d'une inspection inopinée, Med Kouadri, le président de la cour de Médéa et Abdelmadjid Djebbari, le procureur général, des questions purement techniques furent posées par des techniciens sur la pratique du foncier et les réponses furent apportées, dans la limite du respect de la loi.
Mais, à deux longueurs de la fin du séminaire, l'éternel problème du cadastre fut mis en avant. Des réponses, souvent bancales et sombres, furent données lorsque tout à coup, Ali Kouta, 1er procureur-adjoint près la cour de Médéa, se leva et donna son point de vue. Une réponse qui fit vibrer l'assistance ou plutôt les initiés!
Ainsi, concernant les litiges, du cadastre, de ses mille et un problèmes, des crocs-en-jambe, des lourdeurs et lenteurs dans l'exécution des décisions de justice, le premier procureur -adjoint a mis les points sur les «i» ainsi: «Les terres biens de l'Etat ne peuvent pas être confisquées ni saisies par n'importe quel organisme quel qu'il soit, excepté en concession!
La prescription repose sur trois critères: publique, visible et continue!» La journée d'études prit fin en apothéose, et la dernière phrase revint logiquement à l'orateur qui fit en sorte que la justice ait toujours le dernier mot de la fin et c'est tout à son honneur! 

De Quoi j'me Mêle

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