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Elections locales du 27 novembre prochain

Talaïe EL Hourriyet se retire de la course

Le nombre de signatures individuelles exigées par le Code électoral est à l’origine de ce retrait.

Le parti de Talaïe El Hourriyet renonce à prendre part aux élections locales, prévues le 27 novembre prochain. Après avoir annoncé sa participation, il décide de se retirer de cette course électorale, pour se consacrer exclusivement à la préparation de son premier congrès programmé au mois de décembre prochain. Le nombre de signatures individuelles exigées par le Code électoral est à l'origine de ce retrait. «Malgré toutes les réserves émises par le parti sur la révision de la loi organique portant régime électoral, (...) Talaïe El Hourriyet a décidé, en partant de sa conviction de ne pas adhérer à l'agenda de ceux qui voulaient porter atteinte à la stabilité du pays par la création d'un vide institutionnel de participer aux législatives du 12 juin dernier, marquées elles aussi par un taux d'abstention record et sans précédent...», peut-on lire sur le communiqué du parti de l'ex-chef du gouvernement Ali Benflis, rendu public, hier. «Face à cette situation malencontreuse, un groupe de 14 partis, dont Talaïe El Hourriyet, ont demandé audience au président de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie), en vue de discuter d'un certain nombre de difficultés liées à l'application de certaines dispositions de la loi électorale», est-il indiqué.
«Cependant, rappelle-t-on «la réunion tenue le 19 septembre dernier entre les représentants des 14 partis (réduits à sept sur exigence de l' Anie)) et les conseillers du président de cette autorité, s'est soldée par un véritable échec». Cela a conduit les partis concernés à s'en remettre au chef de l'État. À quelque trois jours de l'expiration du délai de dépôt des dossiers de candidature, «ces partis n'ont pas encore reçu de réponse à propos de la pétition qu'ils ont adressée, le 21 septembre dernier, au président Tebboune, l'exhortant à aplanir ces obstacles et entraves bureaucratiques», est-il rappelé en substance. Cette formation estime que «tout cela encouragera la défection électorale et nuira à la légitimité des assemblées élues». Cet état des lieux conduira inévitablement, soutient-on, à l' affaiblissement de l'action politique et à l'anéantissement du rôle des partis et de la classe politique dans toute sa composante.
Par conséquent, Talaïe El Hourriyet rappelle que «les partis sont des institutions actives dans tout système démocratique et des partenaires politiques incontournables qu'on pourrait remplacer par ce qui est appelé «la société civile et les candidats indépendants». Par ailleurs, l' Union pour le changement et le progrès(UCP) de Zoubida Assoul a annoncé, dans un communiqué, sa non-participation aux élections locales prochaines.

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