L'Expression

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Ne jamais généraliser, svp !

Le jeudi passé, devait se tenir un procès relevant de la correctionnelle. Il s'agissait de débats relatifs à l'escroquerie, fait prévu et puni par l'article 272 du code pénal. Il est devenu une habitude pour les déboutés des joutes pénales, de crier au complot, à la machination, surtout si dans l'affaire, il y a un ponte de l'ex-pouvoir - détenu condamné définitivement pour une autre affaire d'abus de confiance, fait prévu et puni par l'article 376 du code pénal. Quand le président a décidé le report, après avoir constaté, pour la seconde fois consécutive, l'absence des témoins-clés pour le 21 du mois passé, Djamel. F.ll'inculpé de coups et blessures, ayant entrainé un arrêt de travail de vingt et un jours, sauf complications, gonfla ses joues de satisfaction car il avait peur que ce jour fut celui d'un dur châtiment, sans que la juge prenne en compte les circonstances atténuantes, et surtout l'excuse de provocation criarde de la pseudo-victime! Ce cauchemar a fait que l'inculpé, se considère comme une victime toute désignée de la mafia, qui sévit dans la wilaya de et les contrées qui l'entourent. Une mafia qui s'est permis le luxe, il y a plus de quinze ans, de dépouiller une grande partie de terrains de la population, au vu et au su de tous, le tout dans un silence complice assourdissant des plus hautes autorités, politiques et judiciaires comprises. L'inculpé avait un regard interrogateur quant au logique renvoi du procès. Un procès qui devra démontrer que les allégations des éternels sceptiques pour ce qui est de la magistrature ne valent qu'à travers les propos de leurs auteurs dont une grosse partie se dit victime de travers continus et d'actes indignes de citoyens qui prétendent être des descendants de grandes familles nationalistes, révolutionnaires et combattantes. Il faut souligner qu'avec les scandales passés, certains citoyens se gaussent encore des prises de position, de nos vaillants anciens magistrats, ceux que certains collègues ont nommé au lendemain de la sortie dans les artères du pays, «les magistrats-victimes-du- téléphone». C'est pourquoi les actuels et futurs justiciables devraient se débarrasser définitivement du complexe, celui qui consiste à reprendre le fameux, négatif et hideux concept qui signifie que dans ce pays, il n'y aurait pas de justice, ni même l'esprit de justice» Dénoncer, oui, mais généraliser, non, non et non!

De Quoi j'me Mêle

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