L'Expression

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Lorsque les magistrats du siège...

Les audiences du pénal se suivent mais ne se ressemblent pas, mais alors, pas du tout. Que ce soit à la cour de Tipaza, qui vient de recevoir un magnifique magistrat qui a fait les beaux jours de Rouiba, en l'occurrence, Nasser Sédira, à la tête du fameux et controversé tribunal de Chéraga! Welcome, Monsieur le président!
Alger, ou même Blida, ou encore Aïn Defla, au tribunal de Hussein Dey, Bir Mourad Raïs, à Sidi M'hamed-Alger, Bab El Oued (cour d'Alger), ou bien à Dar El Beïda, qui vient de recevoir Liès Benmissia, qui occupait auparavant le même poste à Bab El Oued, à la tête du tribunal, où il a retrouvé la présidente de la section «foncier», dont on dit le plus grand bien!
A Koléa ou Hadjout (cour de Tipaza), les juges du siège cravachent dur pour achever l'année en symbiose, avec le légitime espoir que 2022, se présente sous ses meilleurs auspices!
Certains juges du siège, par exemple, le chevronné Rachid Aouissi, est, depuis le siège qu'il occupe chaque dimanche, à la cour de Tipaza, pour rendre justice, comme il l'a toujours fait depuis maintenant près de 25 ans!
De l'autre côté, à l'est d'El Harrach, à la cour de Boumerdès, l'aguerrie et compétente Nassima Saâda, continue à rendre, elle aussi, tous les dimanches à la cour, la justice qu'elle a débutée, il y a presque 20 ans, à Boufarik (cour de Blida), avant de passer de durs moments à El Harrach, puis à Dar El Beïda.
Cette jeune mais très expérimentée magistrate, fait peine à voir durant les audiences, par l'indiscipline de certains présents qui chuchotent, se lèvent pour un oui, pour un non, rient à haute voix ou même, toussent à se faire entendre depuis la salle des «pas perdus».
Ce n'est pas qu'elle n'a pas l'autorité nécessaire pour mettre fin à ces «parasitages», loin s'en faut, mais son éducation, ne lui permet pas d'user de représailles! C'est pourquoi, il lui arrive de lancer son plus beau sourire en direction du fauteur de troubles, en guise de sérieux avertissement!
Des conseils trouvent qu'elle a la main lourde dans ses verdicts:
«L'essentiel est qu'elle applique strictement la loi!», s'oppose Me Habib Benhadj, l'avocat d'Alger qui a plaidé devant elle, là où elle est passée durant ces 15 dernières années. Sa consoeur, Djamila Benkhettou, qui fait actuellement les beaux jours à la tête de la chambre pénale de la cour de Tipaza, avait prédit un avenir radieux à Nassima Saâda, lorsqu'elle occupait, à droite de la débutante jeune juge, le siège du ministère public à Boufarik (cour de Blida),

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