L'Expression

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Les souhaits et les barrières

Depuis l'indépendance notamment, le secteur de la justice fut mis sous l'éteignoir.
L'unique institution à ne faire l'objet de soins particuliers de la part de nos décideurs, restait, et isolée, svp, la seule magistrature. Pourtant, les ministres avaient la personnalité voulue.
Mais alors que devient la jurisprudence du fantastique magistrat aujourd'hui, retraité, Kamel Ben Chaouch, alors puissant et très craint président de la section «détenus» de la Cour d'Alger? Nous nous souvenons que lorsqu'il présidait la section «délits de presse» de la cour d'Alger, une section créé pour les besoins du moment, le magistrat a vu de «fantasques-fonctionnaires formés pour «tout casser», notamment les meilleurs magistrats, surtout ceux qui ont toujours dit «non», aux fonctionnaires véreux et autres trafiquants de tous bords, terrés au ministère de la Justice, le héler méchamment, en lui rappelant qu'il n'avait pas le droit, ni encore moins la «permission», d'aller vers la jurisprudence! N'est-ce pas?
Le juge baissa les oreilles, le ton et l'ambition, pour ne se consacrer qu'aux audiences «mécaniques », tristes, fades et surtout sans intérêts pour l'opinion publique avide de sensationnel.
Ainsi, fonctionnait l'appareil judiciaire, un moment pris en otage par les parvenus, les «bandits ratés» et autres mauvais esprits.

De Quoi j'me Mêle

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