Le plan de fond du procès
Le procès de l’assassin de la belle-sœur avait mis en scène, outre les parties en présence, dont les deux témoins du drame : Le père de la victime, d’abord, avait porté à la connaissance du tribunal criminel, que «M.B. prenait des cachets psychotropes, mais qu’il avait récemment décidé d’arrêter, je ne saurais vous dire pour quelle raison.»
La voisine a témoigné en ces termes : « En entendant les cris de désespoir de ma défunte voisine, j’ai constaté que la porte était fermée, je me suis penchée à la fenêtre et c’est là que j’ai constatée l’horreur devant moi, en voyant que le beau-frère s’acharnait, à l’aide d’un gourdin, sur le corps ensanglanté.
Mes appels sont restés lettre morte.
Oui, vous voyez bien la teneur de l’acte sauvage !»