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Hussein Dey reprend ses forces

Nous sommes fin septembre 2024 à «Brossette», le quartier populaire, où s'élève majestueusement le palais de justice d'Hussein Dey, un des cinq très grands tribunaux de la cour d'Alger, sept, si l'on ajoute les tribunaux administratif et commercial. Imène Moussa Guerroumi, Toufik Hamadache, Zohra Attek, Aboumahdi, Bilel Jabri, Mosbah El Kh'missi, Rabah Fékir, entre autres, demeurent qu'on le veuille ou pas, des magistrats à la hauteur de leur mission. Même en cas de défaillances de l'un d'entre eux, la relève est là.
Le tribunal travaille dans une sacrée ambiance grâce au légendaire dévouement des greffiers, surtout ceux qui voient arriver la délivrante, et reposante retraite. Bien que la juridiction ouvre ses portes vers les huit heures, les audiences commencent relativement tard, on peut à loisir constater qu'il y a des audiences qui débutent vers les onze heures et quelques, soit parce que l'audience du civil s'est prolongée au-delà du temps imparti, soit avec l'arrivée tardive des détenus. Ce sont des cas rares, et il faut tout de même rendre hommage au service de sécurité qui joue son rôle à merveille.
Les hommes du 14e de la Dgsn ont toujours été fidèles à la politique de sécurité qui a un long bail derrière elle. Hussein Dey demeure une vaste daïra, où on rencontre les pires des malfaiteurs, comme les meilleurs flics. Il n'y a qu' à assister aux diverses présentations devant le procureur de la République, pour évaluer la valeur des brigades de services.
Vous rencontrez des jeunes aux dents longues, comme de vieux briscards, qui ont fait leurs services durant la pénible et sanglante décennie noire!

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