Drôles de victimes !
Plusieurs fois, dans les salles d’audience, les annonces de verdicts, mis en examen, ou parfois, annoncés sur le siège, ne sont pas immédiatement entendus par tous les assistants-présents. Souvent, c’est la victime elle-même qui n’est généralement pas là. Sur place, à la suite de l’annonce par le magistrat du siège, du verdict qui lui est plutôt favorable, pour crier haut et fort, “vive la justice ! ” Ce phénomène a lieu lorsqu’elle obtient les réparations voulues. Jusqu’à présent, ce sont les victimes qui ont été déboutées, qui font un boucan criant sur tous les toits qu’il n’y a pas de justice, qu’il y a eu magouille, manipulation, piston, connaissance etc. Il ne manquera plus alors qu’à crier, et pourquoi pas, au complot ourdi par une puissance étrangère. C’est ça aussi, une des nombreuses facettes de notre justice, une justice malmenée quoique que l’on fasse, et que l’on dise ! Car, il faut bien expliquer à l’ensemble de nos chers lecteurs, que les citoyens ne croyaient pas en la justice : « C’est une justice aux ordres ! » lancera ce fonctionnaire des « postes », qui n’a jamais compris pourquoi, la justice ne lui avait pas accordé ses droits à la suite de l’acquittement ordonné par le tribunal criminel, en plus, un Istn qui lui a collé aux os, durant 18 ans, jusqu’à ce que Belgacem Zeghmati, alors ministre de la Justice, garde des Sceaux, lui avait décollé l’étiquette de l’Istn, pourtant prise en considération par la loi, durant 6… mois ! qui n’a jamais compris.
Un individu condamné par défaut à une peine de prison assortie d’un mandat d’arrêt se doit, dès qu’il a eu vent de l’info,de se rendre au tribunal ? Cette situation a lieu, même sans être assisté d’un avocat, et de préférence, si c’est en vue de vider le mandat d’arrêt et d’attendre de passer en jugement, dans les délais que prévoit la loi. Il aura ainsi fait opposition et ce n’est pas évident qu’elle soit acceptée par qui de droit, moralement parlant.
