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La fonction publique et le secteur privé recrutent

Vague d’emplois sur l’Algérie!

Cette fin d’année, les offres d’emploi fusent de partout. Une dynamique qui va se poursuivre en 2025, avec des postes de travail stables et durables…

L'Algérie «embauche» à tour de bras! Grandes entreprises, fonction publique et services de sécurité lancent d'importantes campagnes de recrutement. La société numéro un en Afrique, Sonatrach, vient de lancer un grand concours national pour pourvoir de nombreux postes dans 19 filières professionnelles, destinés principalement aux diplômés souvent «lésés». Ce concours, dont les inscriptions se font exclusivement en ligne pour garantir plus de transparence, rencontre un véritable succès auprès des jeunes. Dans les rues, les cafés et sur les réseaux sociaux, on ne parle que de ça. Tous espèrent décrocher le «job de leurs rêves». Tout au long de l'année, Sonatrach a organisé plusieurs concours, notamment pour les jeunes du sud du pays. L'entreprise a emboîté le pas à d'autres grandes entreprises publiques telles que Madar, Djezzy, et Algérie Telecom, qui ont également lancé des campagnes de recrutement. Certes, ces actions sont moins ambitieuses que celles de Sonatrach, mais chaque petite initiative compte, comme on dit: «Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières». D'ailleurs, cette dynamique de l'emploi a débuté il y a plusieurs mois, après la relance des entreprises récupérées par l'État à l'ancienne «Issaba» (ex-oligarchie). Cela a permis à de nombreux jeunes et moins jeunes d'accéder au marché du travail dans ces usines et sociétés qui ont redémarré, à l'image de la raffinerie de Larbatache, encore en phase d'essai, mais où 500 personnes travaillent déjà, sans compter les emplois indirects générés. L'aéroport d'Alger a également lancé, en octobre dernier, une campagne de recrutement destinée aux jeunes âgés de 22 à 42 ans. La dynamique économique du pays, ces dernières années, a également entraîné une forte demande dans le secteur privé. De nombreux projets ont été débloqués, de nouvelles sociétés ont vu le jour, et des start-up ont émergé, créant ainsi des centaines de milliers de nouveaux emplois. En 2023, par exemple, 53 847 nouvelles entreprises ont été créées, entraînant une augmentation de plus de 20% des offres d'emploi. Aujourd'hui, même la fonction publique a retrouvé son dynamisme. L'Éducation nationale, l'enseignement supérieur, les affaires étrangères, les télécommunications, et bien d'autres secteurs ont lancé des concours de recrutement. Les services de sécurité ne sont pas en reste. L'Armée nationale populaire, la Gendarmerie nationale, la police, les douanes, et la Protection civile ont ouvert leurs portes à la jeunesse algérienne. La nouvelle Algérie se tourne résolument vers ses citoyens, et plus particulièrement vers sa jeunesse. Cette dynamique devrait se poursuivre en 2025, avec la création de près de 100 000 emplois dans la fonction publique, conformément aux prévisions de la loi de finances2025. Les grands projets structurants mis en place par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, devraient également stimuler l'emploi. Par exemple, plus de 10 000 postes seront créés dans le secteur des mines, sans compter les projets liés aux stations de dessalement, à l'agriculture et aux grands investissements étrangers. Cette dynamique se poursuivra avec la relance des dispositifs de création de micro-entreprises, comme le Nasda ou le Fonds d'aide à la création de start-up. En outre, la main-d'oeuvre est de plus en plus qualifiée. L'université et la formation professionnelle ont adapté leur système de formation aux exigences actuelles du marché. Aujourd'hui, les diplômés sortent directement opérationnels des universités ou des centres de formation. De plus, les emplois offerts ne sont plus précaires. Le président Tebboune s'est engagé à créer des emplois stables pour tous, en réglant définitivement la question des pré-emplois, grâce à leur intégration définitive. Ceux qui n'ont pas encore trouvé de travail bénéficient d'une allocation chômage, un dispositif unique sur le continent et dans la région, offrant une aide de 20 000 DA par mois. Cela permet de préserver la dignité des jeunes, comme le souligne régulièrement le chef de l'État. Ces derniers bénéficient également de formations gratuites et spécialisées, et nombre d'entre eux ont déjà été recrutés. L'allocation chômage n'a été qu'un tremplin vers un emploi stable et qualifié. Le président Tebboune a également pris l'engagement de créer 450 000 emplois durant son second mandat. Les choses sont bien parties, et il est possible que cette dynamique aille encore plus loin. C'est l'Algérie victorieuse...

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