L'Expression

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Révélations d'ex-hirakistes à propos des agissements d'officines

Les preuves du complot

La hache de guerre a été bel et bien déterrée, les accusations se multiplient.. L'existence de relations avec les promoteurs des semblants «printemps arabes»,est établie.

Des Algériens qui ont participé à la dynamique populaire du 22 février 2019, sortent de leur anonymat et brisent le mur du silence. Certains d'entre eux se disent «hirakistes» de la première heure et qu'ils ont suivi minutieusement le processus qui a été couronné par le sursaut populaire salvateur. Ils ont rompu le silence qui a tant duré pour apporter leurs témoignages à propos de l'impasse dans laquelle se trouve le Mouvement populaire du 22 février 2019 et les tenants et aboutissants de cette déconfiture programmée.
Des «hirakistes» révèlent le complot de certaines nébuleuses aux agendas concoctés par leurs promoteurs d'outre-mer. Ils sentent le devoir de tout dire à propos des «agents» de l'extérieur, qui mènent une vie luxueuse, tout en semant l'intox, en manipulant des jeunes désoeuvrés et livrés à eux-mêmes.Des vidéos qui circulent sur le Net, émises par des noms qui avaient suivi la trajectoire du Mouvement populaire de 22 février 2019, pointent du doigt des forces obscures qui ont reçu des instructions pour jouer la carte du «printemps arabe» et faire tout pour «barrer la route à ceux qui veulent s'opposer à la feuille de route préparée par des officines étrangères à la solde de la NED et les «succursales» inféodées au richissime et sioniste, George Soros et tutti quanti. Ces «hirakistes» assurent dans leurs témoignages, qui pullulent sur les réseaux sociaux, que «notre soulèvement populaire visait le changement qui devait mettre terme à la corruption et débarrasser le pays des oligarques qui voulaient opérer un passage en force en imposant le cinquième mandat de trop», affirme-t-on.Selon ces «influenceurs», l'élan populaire qui a vu la mobilisation populaire massive et historique a été «récupéré par un groupe qui ne cherchait pas une issue salvatrice pour le pays, ils voulaient transformer ce sursaut populaire en une force antagonique et aux antipodes des attentes des millions d'Algériens et d'Algériennes qui se sont soulevés en même temps pour concrétiser le mot d'ordre: «Non au cinquième mandat et pour un changement démocratique et social.». Plusieurs voix se font entendre, aujourd'hui, pour mettre l'accent sur les véritables causes de l'impasse qui frappe de plein fouet le Mouvement populaire et son incapacité de mobiliser les Algériens comme c'était le cas, lors de l'élan populaire et historique du 22 février 2019. Dans ce sens, ces «hirakistes» n'hésitent plus à dénoncer ceux qui se prenaient pour les portes-paroles autoproclamés du Mouvement populaire et les accusent d'être les premiers responsables de la déconfiture qui a frappé cet élan mobilisateur.Les raisons soulevées font ressortir les implications de certaines forces obscures qui opèrent de l'étranger et qui ne cessent de faire preuve de traîtrise et de trahison à l'adresse du pays. Ils évoquent leur méthode et leur mode opératoire qui consistent à salir l'image de toutes celles et ceux qui ne partagent pas leur approche et leur conception quant à un changement intrinsèque dans le pays. Le plus grave, c'est que ces «hirakistes» accusent le groupe qui active à l'étranger en occupant la blogosphère de «propager de l'intox et de la propagande mensongère contre l'Algérie dans le but de précipiter le pays dans le chaos tel que conçu par les officines étrangères qui financent et qui assurent le mentorat à ses agents et mercenaires».
La hache de guerre a été bel et bien déterrée, les accusations se multiplient et des révélations se font diversifier pour arriver à une conclusion amère et dangereuse, à savoir l'existence des liens avérés et des relations prouvées de certaines nébuleuses avec les promoteurs des semblants «printemps arabes» et la fallacieuse démarche consistant à faire l'éloge d'une notion fumeuse de «soft power» et de «régime change». Les «ex-hirakistes» comme ils préfèrent se définir aujourd'hui, rappellent que l'Algérie à «failli se retrouver dans le scénario libyen ou syrien, heureusement que la majorité du peuple avait compris et a eu conscience du complot qui se préparait contre l'unité du pays et de sa souveraineté». Les enjeux se précisent clairement et les objectifs se font jour d'une manière saillante à propos du «Hirak 2» et ses visées destructrices dont le seul souci était d'utiliser certains vendus pour mettre l'Algérie à feu et à sang et préparer son enterrement en tant qu'État-national.

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