L'Expression

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Le second mandat présidentiel démarre sur les chapeaux de roues

La nouvelle Algérie est bien là!

Les dirigeants du monde entier, moins ceux d’Israël et du Maroc, ont félicité le président de la République pour sa réélection.

Moins de deux mois après la séquence électorale, l'Algérie, comme l'avait annoncé le président de la République, repart sur les chapeaux de roues. Le projet de loi de finances pour l'année 2025 est un concentré de mesures incitatives à l'investissement, à une meilleure gouvernance financière et économique. À plus de deux mois de la fin de l'année 2024, il se dégage une impression d'un grand puzzle qui se constitue pièce par pièce. Les récents rendez-vous politique et économique abrités par l'Algérie illustrent assez bien le statut du pays. Les contrats signés en marge du Napec d'Oran, l'avalanche de félicitations reçues par le président de la République à l'occasion de sa réélection et l'empressement de certains États à renouer le dialogue, renseignent sur le poids géopolitique du pays. Sous la présidence d'Abdelmadjid Tebboune, l'Algérie a acquis une influence considérable. La guerre en Ukraine et le génocide en Palestine qui l'ont mis au- devant de la scène économique et politique n'expliquent pas tout. Il y a dans l'attitude du président de la République, une fierté algérienne qui, faut-il le souligner, impressionne au niveau international. À commencer par les pays voisins, la Mauritanie, la Tunisie, la Libye et le Niger avec qui, le partenariat avance à grands pas. Avec les quatre premiers, le projet d'un nouveau Maghreb se dessine et d'importantes réalisations structurantes verront le jour avec le cinquième. La confirmation du Président à la tête de l'Algérie a consolidé tous ces liens et donné à l'Afrique du Nord et au Sahel une nouvelle perspective de développement, loin des ingérences.
C'est cette fierté qui l'a poussé à faire bouger les lignes, de sorte qu'au plan du climat des affaires, les choses évoluent dans le bon sens, avec des annonces d'investissement directes. Dans l'automobile, les énergies renouvelables, les hydrocarbures en offshore et l'agriculture, des méga-projets qui totalisent des dizaines de milliards de dollars, à terme, sont déjà au stade de la concrétisation. Au plan du climat social, les signaux d'une réelle entente entre la société et l'État se font très nombreux et, au quotidien, l'on sent une symbiose assez rare, faut-il en convenir. Le rétablissement de la confiance entre l'administration et la population, processus certes long et capricieux, est une réalité qui se construit de jour en jour. L'instruction présidentielle qui consiste à ce que l'administration agisse sur les crises très rapidement à défaut de les prévenir, porte ses fruits à plus d'un niveau.
La présence effective et permanente de l'État dans l'espace social rassure et amène à penser que la réélection du président de la République a donné un supplément de stabilité du pays, tant au plan social qu'économique. Dans ce processus, la grève des étudiants en médecine illustre la réactivité de l'État et surtout la maturité des étudiants qui ne s'étaient pas laissés embarquer dans une combine suspecte. Leur revendication était claire, indépendamment de sa légitimité. Le gouvernement a saisi le message et ouvert le dialogue. Ce dernier se déroule dans la sérénité. Voici un exemple parfait de ce que la nouvelle Algérie est capable. Rares les pays qui parviennent à ce genre d'échange entre une catégorie de la société et les sphères décisionnelles du pays en un temps record. Cet exemple augure d'un débat fructueux et constructif dans le cadre du dialogue national ouvert, préconisé par le chef de l'État.
Tout cela pour dire que le puzzle Algérie est quasiment constitué, de sorte à ce que le pays soit effectivement visible de l'extérieur. En un mot comme en mille, l'Algérie n'est pas une tache informe où l'on se demande dans quelle direction elle grandira, mais bien un projet de société et civilisationnel cohérent basé sur des principes partagés par l'ensemble de la population algérienne. Le président Tebboune qui porte cette nouvelle Algérie a dessiné ses contours politique et idéologique et le monde entier sait aujourd'hui les lignes rouges, les causes défendues et l'aspiration légitime des Algériens à l'émergence.
Indépendamment des aspects formels qui ont présidé à la séquence de la présidentielle, il est un fait indéniable et compris de tous, c'est qu' Abdelmadjid Tebboune a su fédérer les Algériens autour de son projet. Que ces derniers aient voté pour lui, ou pour l'un des deux autres candidats, ou se soient abstenus, il existe une réelle unanimité sur l'idée de la nouvelle Algérie. On ne se rencontre pas sur certains détails, mais dans le fond, les Algériens savent où va leur pays et ils en sont satisfaits. Ce consensus que dégage le pays est visible de l'étranger. Tellement visible d'ailleurs qu'il a suscité un autre consensus, celui de l'ensemble des nations du monde. Il faut savoir, à ce propos, que les dirigeants du monde entier, moins Israël et le Maroc, ont félicité le président de la République pour sa réélection et souhaité développer un partenariat. Les plus importantes puissances du moment ont renouvelé leur disponibilité à travailler avec l'Algérie et les dirigeants de quelques pays «comploteurs» ont été jusqu'à inviter le Président à se rendre chez eux. Et la visite de la présidente de l'Inde n'est pas un détail dans la dimension que prend présentement l'Algérie depuis le 7 septembre dernier

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