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Développement économique

La BM dresse un bilan positif

«Depuis 2021, l’économie algérienne a enregistré une reprise vigoureuse».

Incontestables, les avancées économiques inscrites ces dernières années par la nouvelle politique d'investissement et d'exploitation en Algérie, continuent de faire l'objet des constats les plus positifs auprès des organisations internationales.
À ce titre, le vice-président de la Banque mondiale (BM) pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), Ousmane Dione, a précisé ce samedi lors de son passage à l'émission "Débat politique" de la Chaine 3 de la Radio nationale,animée par Souhila El Hachemi, que «L'Algérie est en train de progresser de manière tout à fait positive sur le plan économique, avec des chiffres qui parlent d'eux-mêmes.
Il faut quand même reconnaître que depuis 2021, l'économie algérienne a enregistré une reprise vigoureuse». Il faut dire que ces résultats découlent d'un travail colossal de réformes et des restructurations des paradigmes de gestion et de fonctionnement.
La mise en place de nouveaux ajustements juridiques à également continué à libérer l'acte d'investir, et améliorer le climat des affaires, dans le sens d'une accélération de la concrétisation des objectifs fixés. Les répercussions sur l'économie nationale se sont exprimées en un temps record à réaliser une croissance nette des indicateurs macroéconomiques.
C'est dans ce sillage que Ousmane Dione explique que «cette croissance, est soutenue, en large partie, par l'exportation des hydrocarbures, aussi en termes de diversification, avec des recettes hors hydrocarbures. Ainsi que le solde positif de la balance courante depuis 2022, et la hausse des réserves de change de l'Algérie, pour se situer aujourd'hui à l'équivalent de 16 mois d'importations». On ne peut plus clairs, ces résultats traduisent la pertinence des solutions et des traitements mis en place pour redresser la situation, et lancer l'économie nationale sur les rails du développement durable, de la performance et de la stabilité.
Un accompagnement plus que stratégique, dans la mesure ou il s'inscrit dans l'édification d'une vision profonde basée sur des données réelles.
Cette dernière a ciblé les axes les plus névralgiques pour en faire les nouvelles niches de richesse de l'économie nationale. Dans ce sillage Ousmane Dione s'est notamment réjoui de «l'ouverture du marché, de la compétitivité, la stabilité macroéconomique, un cadre où les IDE se sentent de plus en plus à l'aise, le développement des infrastructures et le développement régulier de certains secteurs niches comme l'agriculture, le tourisme, le digital et les start-up, et la qualité de la qualification des Algériens, notamment dans le secteur des hydrocarbures».
Il y a lieu de souligner que le développement de ces axes a engendré des impacts inédits en matière de maîtrise de l'inflation, de la régulation du marché de la consommation, et la préservation du pouvoir d'achat du citoyen. Ce qui renseigne sur l'importance des perspectives et opportunités qu'offre le marché algérien, dans sa nouvelle configuration économique. Une attractivité qui confirme son rang de partenaire incontournable sur le marché africain et international.
Un positionnement qui demeure associé à son avantage géostratégique, et à la force de son déploiement et de sa contribution majeure dans le développement de l'économie intra africaine. Dans cette optique Ousmane Dione n' a pas manqué de souligner que «pour l'Afrique, l'Algérie pourrait être non seulement un vecteur de progrès économique, mais aussi d'attrait des IDE, de création d'emplois de qualité, tout en assurant la mission de diffusion de la technologie à travers le continent africain».

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