L'Expression

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À l'occasion de la Journée nationale de la presse

L'ambassadeur d'Algérie à Paris rend visite à L'Expression

Le métier de journaliste est un grand fournisseur de souvenirs indélébiles et de rencontres agréables.

Pour féliciter la presse, à l'occasion de sa Journée nationale, coïncidant avec le 23 octobre, l'ambassadeur d'Algérie à Paris, Mohamed Antar Daoud, a rendu, hier, une visite au quotidien L'Expression. Une opportunité pour l'ancien journaliste professionnel de replonger dans l'ambiance du journalisme et la frénésie des salles de rédaction qu'il avait connues, alors qu'il était le présentateur- vedette du journal en français de la Télévision nationale durant les années 1970. Grand reporter à El Moudjahid, sillonnant les pays du Golfe, l'Afrique et le Liban, en pleine guerre civile, Ahmed Fattani a évoqué avec son ancien confrère Mohamed Antar Daoud, des vieux souvenirs de la presse, notamment durant les années fastes de Boumediene, puis l'époque de Chadli Bendjedid. Le métier de journaliste est un grand fournisseur de souvenirs indélébiles et de rencontres agréables. Mohamed Antar Daoud et Ahmed Fattani ont évoqué des personnalités inoubliables à l'image de Mohamed Seddik Benyahia, ministre de l'Information de 1966 à 1970 puis ministre des Affaires étrangères de 1979 à 1982 ou de Noureddine Nait Mazi, directeur du journal El Moudjahid, décédé en avril 2016.
Des hommes qui ont contribué, à côté d'autres personnalités, avec abnégation et patriotisme, à la lutte pour libérer le pays du joug colonial et ensuite pour l'édification de la jeune nation algérienne. Profitant de cette halte, les deux anciens confrères ont également évoqué les perspectives d'une presse nationale soumise à de rudes épreuves économiques et à de grands défis politiques. Le président de la République a bien résumé cette situation en affirmant que les journalistes traversent, aujourd'hui, une étape charnière de leur carrière, à la faveur de la variété et du développement des contenus et des moyens de communication, «dont certains sont, malencontreusement, exploités à des fins d'atteinte à la dignité humaine, loin de tout respect de l'éthique professionnelle». Abdelmadjid Tebboune a averti, que cette situation risque de prendre des proportions dangereuses, «il est désormais impératif, voire urgent, d'engager une réflexion participative et positive, en vue de créer des mécanismes à même de codifier et d'encadrer les nouveaux outils de travail dans le monde de la presse», soulignera le chef de l'état.

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