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Elections législatives

Charfi évoque le vote électronique

«L’Anie a des moyens humains exceptionnels maîtrisant les nouvelles technologiques à même de le concrétiser.»

Forte d'une expérience et une crédibilité incontestable, en matière de gestion et d'organisation des élections, l'Anie confirme son engrangement à réussir les prochaines élections législatives en introduisant tous les moyens susceptibles de renforcer la transparence de ce rendez vous électoral. À cet effet, la maîtrise des nouvelles technologies, en vue d'en faire un outil contre la fraude devient incontournable, dans la mesure où il permettrait une meilleure traçabilité et une visibilité indispensable pour le bon déroulement de l'opération de vote. Dans ce sens, le président de l'Anie, Mohamed Charfi n'a pas manqué, ce jeudi, lors de l'installation de la commission indépendante de contrôle des financements des comptes de la campagne électorale, de mettre en avant les effets hautement positifs, du recours à l'inscription en ligne sur les listes électorales, précisant que «le recours au vote électronique à l'avenir n'est pas exclu.
L'Anie a des moyens humains exceptionnels maîtrisant les nouvelles technologiques à même de le concrétiser. Les premières données montrent que les citoyens se sont inscrits en ligne, lors de la dernière révision exceptionnelle des listes électorales en prévision des élections législatives de juin prochain, ce qui dénote une maîtrise des nouvelles technologies».
Par ailleurs, Charfi est revenu sur le déroulement de l'opération de révision des listes électorales, indiquant que «le bilan de la révision exceptionnelle des listes électorales pour les législatives du 12 juin sera annoncé, officiellement, samedi prochain. Nous avons enregistré un retrait de 2 500 formulaires de candidatures par des partis politiques et des candidats indépendants, ce qui présage, d'une compétition électorale qualitative.
La loi organique portant régime électoral fixe le dernier délai de l'opération à 50 jours avant le scrutin, il a exclu toute prorogation du délai».
Des chiffres qui reflètent d'ores et déjà, une adhésion grandissante de la part des acteurs politiques, pour le processus électoral, et leur volonté à redonner à la scène politique un nouveau souffle et une nouvelle dynamique, loin des anciennes pratiques et de l'ordre établi par les anciens ténors du Parlement. Il s'agit aux yeux des observateurs, d'une redistribution des cartes, qui vise à conférer à tous les participants les mêmes chances, et les mêmes moyens de campagne. Seule alternative pour marquer le début d'une nouvelle ère, où la course électorale sera marquée par l'égalité, l'efficience et l'éradication de l'argent sale, et du clientélisme qui a marqué les rendez-vous électoraux durant les dernières décennies. Dans cet ordre d'idées, le président du Sénat a mis en avant l'importance de ces nouvelles dispositions constitutionnelles, soulignant qu'«il s'agissait d'un nouvel acquis qui renforcera la démarche visant à assurer la régularité et la crédibilité de l'opération électorale». Une condition hautement importante, du fait qu'elle représente le point de rupture avec les anciennes pratiques, et ouvre la champ politique aux nouvelles formations, aux jeunes et à la société civile. Dans ce sens, l'installation de la commission indépendante de contrôle des financements des comptes de la campagne électorale, jouera, en plus de son rôle de contrôle des origines de l'argent, le rôle de régulateur du mouvement financier lors de cette opération, et instaurera un climat de confiance et de transparence, indispensable pour l'électeur.

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