L'Expression

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Ils s’arrogent le droit de parler en son nom

Ces autoproclamés représentants du Hirak

se référer à la voix du peuple, cela s’appelle de l’usurpation de la souveraineté populaire et une forme fascisante de faire de la politique.

L'on assiste à une véritable usurpation de la voix du peuple. Le «Hirak» 2 à travers ses représentants autoproclamés ne lésine devant aucune barrière relevant de l'éthique politique ou de rectitude pour s'arroger le droit de parler au nom du peuple.
Cette dérive populiste et despotique trouve son incarnation dans les déclarations de Tabbou, Bouchachi et tutti quanti. À chaque fois ces personnes se réfèrent à la vox populi dans l'intention de l'adouber et l'éberluer par leurs ratiocinages et autres spéculations pétries d'impostures et d'inepties qui sont dans leur majorité entretenues sciemment dans le but de cultiver davantage le mensonge s'inscrivant dans la démarche propagandiste des plus viles et des plus nauséabondes.
Cette méthode qui consiste à se prendre pour un «pontife» en mal de sainteté écorne le processus en cours caractérisé par la volonté de tout un peuple à aspirer au changement dans une atmosphère sereine et intrinsèque loin de toutes les interférences et ingérences. La caractéristique du Hirak 2 est de faire dans le populisme et l'autosuffisance en matière de recours à des scenarii concoctés de toutes pièces dans la perspective de favorise un climat délétère et pousser au pourrissement de la situation politique du pays.
Les déclarations sélectives et tendancieuses des autoproclamés du «Hirak» 2 renseignent sur un agenda préétabli par des officines et des forces obscures qui n'affichent pas leur identité politique et ses ramifications d'outre-mer. Le mensonge et les couleuvres ne peuvent pas résister à la véracité de la réalité objective et au mouvement de l'histoire que se soit en termes d'événements instantanés ou en termes d'analyses et de réflexions ou de supputations factuelles.
Se référer à la voix du peuple et oser se targuer d'être son incarnation, cela provoque l'ire des pans entiers de la société algérienne qui n'ont pas octroyé aucun mandat à qui que ce soit pour le représenter ou de parler en son nom. Cela s'appelle dans le jargon politique machiavélique, de l'usurpation pure et simple.
Le Mouvement populaire du 22 février 2019 et son élan historique n'ont pas attendu le populisme de Tabbou et la roublardise de beaucoup de prétentieux politicaillons pour exprimer à travers leur instinct politique leur ras-le-bol et leur rejet d'une déferlante despotique qui allait prendre la tournure d'une monarchie oligarchique avec comme décor un roitelet important et grabataire.
Durant ce temps, les autoproclamés représentants du «Hirak» 2 faisaient la cour dans des conciliabules du régime déchu et à travers son opposition gagnée à la cause du régime et ses succédanés.
Le Mouvement populaire était une déferlante de tout un peuple qui a décidé d'en découdre avec un statu quo de trop et menaçant même. Ce mouvement se faisait identifier à travers les familles joyeuses et enveloppées d'espoir et d'aspiration pour une Algérie libre et démocratique avec comme matrice une justice sociale et l'unité nationale. Le «Hirak» 2, il s'est identifié à une secte dont les tenants et les aboutissants sont diamétralement opposés aux revendications de tout un peuple à travers son élan populaire historique. Les nébuleuses et les forces obscures ont fait fuir cet élan qui s'est construit dans une spontanéité héroïque et patriotique. Les Algériens et les Algériennes ont compris que les slogans qui ont été rédigés dans les laboratoires des forces occultes et des officines à la solde de leurs maîtres de l'étranger, ne les concernent pas et ne les engagent pas. La majorité des Algériens et des Algériennes connaît par instinct ce qui va avec leur intérêt et l'intérêt suprême du pays. Ils savent surtout que le populisme et la délation pour le compte des puissances étrangères ne font pas l'affaire de l'Algérie et de sa pérennité en tant qu'Etat national.
Le «Hirak» 2 est constitué de l'ex-FIS dissous et ses sbires qui ont fait preuve d'implication dans un plan macabre d'assassinat des milliers d'Algériens et d'Algériennes et de destruction du potentiel national du pays. Il est constitué aussi des revanchards connus par une connotation renseignant sur leur traîtrise ahurissante, à savoir les «qui-tue-quistes» et de ceux qui ont fait de l'identité une doctrine visant la dislocation de l'Etat national et les acquis de l'indépendance.
Les autoproclamés représentants du «Hirak» 2 sont sommés de ne parler qu'en leurs noms, se référer à la voix du peuple, cela s'appelle de l'usurpation de la souveraineté populaire et une forme fascisante de faire de la politique politicienne. H.N.

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