L'Expression

{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Université de Tizi Ouzou

La traduction de la littérature populaire en débat

Les organisateurs parlent de l'ouverture de nouvelles perspectives de la recherche scientifique dans le domaine de la traduction littéraire ainsi que la vulgarisation au profit des chercheurs de l'héritage populaire algérien en particulier et l'héritage mondial en général...

Le département de traduction de la faculté des lettres et des langues de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou organisera les 27 et 28 juin prochains un séminaire sur la traduction de la littérature populaire. Le séminaire se tiendra au campus universitaire de Tamda, ont précisé les organisateurs. Ces derniers ont assigné à ce séminaire de nombreux objectifs dont celui de tenter de connaître les types les plus importants qui constituent la littérature populaire. Il s'agira aussi de mettre en exergue la traduction de la littérature populaire dans le domaine de la recherche scientifique, mais aussi de faire ressortir une série de suggestions qui peuvent contribuer au développement du niveau de ce type de traduction.
Les organisateurs parlent en outre de l'ouverture de nouvelles perspectives de la recherche scientifique dans le domaine de la traduction littéraire ainsi que la vulgarisation au profit des chercheurs de l'héritage populaire algérien en particulier et l'héritage mondial en général.
Le dernier élément a trait à la sensibilisation sur l'importance de cet héritage populaire et lui redonner de la vigueur à nouveau.

Les grands axes du séminaire
Concernant les grands axes de ce séminaire, il s'agira notamment de la littérature populaire et les études comparatives et les théories de critique moderne, les stratégies et les techniques de traduire les dimensions culturelle et esthétique de la littérature populaire, la littérature populaire algérienne et sa traduction et enfin, le rôle des intermédiaires technologiques modernes dans la promotion et la conservation de la littérature populaire. Il faut noter que l'université de Tizi Ouzou qui vient de renouer avec les séminaires et les colloques après la rupture engendrée par la crise sanitaire, organisera de nombreuses autres rencontres scientifiques dans les prochaines semaines.
Parmi ces dernières on peut citer le séminaire national sur:
«l'industrie agroalimentaire en Algérie, potentialités et défis au centre des systèmes et réseaux.» Les organisateurs rappellent que la crise sanitaire engendrée par la pandémie de la Covid-19 vient de nous rappeler que notre système productif est faible et en même temps
fragile car dépendant des importations d'inputs de l'étranger.

De nombreux colloques au programme
Dans le contexte de récession économique mondiale et où la plupart des frontières sont fermées, l'Algérie ne peut compter que sur elle-même, mais avec peu de ressources productives à gérer et face à des besoins de plus en plus grandissants. Est-il besoin de rappeler qu'une baisse de la facture alimentaire passe nécessairement par une augmentation de la production nationale supposant un important effort d'investissement dans l'agriculture et l'industrie de transformation.
Le développement de l'industrie agroalimentaire revêt alors une dimension stratégique et il faudra initier le plus grand nombre de projets possibles pour d'une part, faire de la substitution aux importations, et d'autre part, arriver à assurer la sécurité alimentaire.
La question de la relance de l'investissement productif ainsi que la création de nouvelles entreprises afin de densifier le tissu économique revêt dans ce cas une importance primordiale, préconisent les organisateurs de ce séminaire.
La même université abritera le 28 juin prochain un colloque international sur la protection du consommateur dans l'environnement physique et virtuel, entre les manifestations de la réalité et les enjeux futurs.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré