L'Expression

{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Tahar Rahim, l'acteur franco-algérien qui s'exporte le plus dans les pays anglo-saxons

Décidément, la carrière audiovisuelle et cinématographique du comédien franco-algérien Tahar Rahim est bien lancée. Ainsi, après son succès au cinéma avec «The Mauritanian», voilà qu'il est relancé avec les séries télévisées américaines. Ainsi, après «The Looming Tower» et «The Eddy», Tahar Rahim est à l'affiche d'une nouvelle mini-série, «le Serpent», qui sera diffusée sur Netflix le 2 avril prochain. Il est devenu l'acteur français qui s'exporte le plus en ce moment.
«Le Serpent» est inspiré d'une histoire vraie et raconte la traque de Charles Sobhraj, Français d'origine indo-vietnamienne, surnommé Le Serpent. Escroc, séducteur, voleur et meurtrier, il est soupçonné d'avoir tué jusqu'à une trentaine de personnes (de jeunes touristes) dans toute l'Asie - la Thaïlande, le Népal et l'Inde - au milieu des années 70. Un homme «diabolique» qui peut bénéficier de la complicité d'une femme, Marie-Andrée Leclerc, une Québécoise rencontrée lors de ses pérégrinations. Déjà diffusé sur la BBC, ce biopic sur le tueur en série Charles Sobhraj - dit «Le Serpent» - arrive sur la plateforme.
Netflix a diffusé la bande annonce officielle pour la sortie de la mini-série
«Le Serpent», le thriller britannique de la BBC qui a cartonné en ce début d'année. Et on ne doute pas que la sauce va également prendre sur la plateforme. Tahar Rahim joue le rôle d'un criminel qui fait face aux tentatives du diplomate néerlandais Herman Knippenberg (Billy Howle) pour le traduire en justice. Se faisant passer pour un négociant en pierres précieuses, Charles Sobhraj et sa compagne Marie-Andrée Leclerc (Jenna Coleman) voyagent à travers la Thaïlande, le Népal et l'Inde entre 1975 et 1976, commettant sur leur passage une série de crimes sur le «Hippie Trail» asiatique. Ils deviennent alors les principaux suspects d'une série de meurtres de jeunes voyageurs occidentaux.
Visage imberbe, coupe de cheveux rétro, prothèses sur le visage et chemise ouverte sur le torse, Tahar Rahim incarne le glamour des Seventies, si seulement il n'était pas accompagné de secrets sanglants. Déjà diffusée depuis le 1er janvier 2021 au Royaume-Uni, la série a été adoubée par la presse et le public. En tête des critiques, la performance de Tahar Rahim, impeccable dans le rôle de ce tueur au sang-froid et au destin effroyablement fascinant. Pour l'acteur qui vient d'être nommé aux Golden Globes pour sa performance dans «Désigné coupable», entrer dans la peau du personnage a été un véritable défi. Après «The Looming Tower» et «The Eddy», Tahar Rahim est à l'affiche d'une nouvelle mini-série.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré