L'Expression

{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

1, 2, 3, «viva l'algiré!»

Belaïli, le feu orange clignote!

Trois matchs joués, trois gagnés avec panache. C’est bien, et même excellent. À tête reposée, une semaine après, de sombres images déformantes reviennent à l’esprit.

À ceux, qui, le 30 mars dernier, au lendemain de l'élimination de l'EN, de la prochaine Coupe du monde 2022 au Qatar, avaient enterré un peu trop vite les «Fennecs», leur avenir, avec... Grâce aux trois confrontations vaillamment livrées, face respectivement, à l'Ouganda, la Tanzanie et l'Iran, les grandes gueules se sont tues!
L'EN est relancée. Depuis maintenant l'entrée de l'été, tous les gros espoirs sont permis. Le football étant un jeu, toute reprise de compétition, est considérée comme un renouveau. Cependant, le fait que nous n'ayons pas «remercié» Djamel Belmadi, le coach national et son staff, après le ratage de la qualification de la Coupe du monde 2022 au Qatar, aura été une excellente chose. C'est dire si les supporters des «Verts», ont une connaissance du football, parfaite. Nous n'allons pas nous étaler sur le comment et le pourquoi de cet historique «loupé», mais souvenons- nous de cet évènement, qui sera, nous l'espérons, un repère et pourquoi pas (un repaire) pour le futur.
Trois matchs joués, trois gagnés avec panache. C'est bien, et même excellent. À tête reposée, une semaine après, de sombres images déformantes, nous reviennent à l'esprit, malgré les joies et les ivresses du moment. Des images affreuses, insupportables, ignobles et décourageantes, nous perturbent le mental avec nos 80 piges, nous, l'ancien arbitre des années - 60 / 70, journaliste à El Haddef paraissant à Cirta, et dirigeant des jeunes «canaris de l'U S Tébessa, des années de plaisir avec la division d'honneur groupe «Est», les JBAC, USM Annaba, ES Guelma, l'USM Khenchela, l'USH Constantine, l'USM Aïn Beida,
l'AS Aïn M'lila, l'AS Khroub, le MSP Batna, l'US Biskra, l' ES Souk-Ahras. Oui, nous respirions le foot, nous nous étions régalés, de magiques exploits, et des Youssef Belaïli, existaient dans chaque club. La liste serait trop longue à afficher, donc, nous vous ferons l'économie d'une lecture fastidieuse et abordons, l'an 2022. Seulement,
60 ans plus tard, nous relevons et d'une manière catastrophique, que le «gamin» Youssef Belaïli, ne veut pas grandir et se confiner au quartier qui l'a vu naître. Attention, attention, Belaïli est un génie dans son genre. Nous pouvons même avancer le fait qu'il soit un «brésilien»... Mais un «brésilien» au service du collectif! Les énormités relevées, depuis ses évolutions, avec les «Fennecs», énervaient plus d'un, les résultats finaux et positifs, faisaient que tout le monde se taisait. Lorsqu'il cherchait Baghdad Bounedjah, alors «encerclé «par de redoutables adversaires, les fans avalaient sans commentaire, le fait que ce joueur faisait ce qu'il voulait. Et cette curieuse attitude était tolérée, car les bons et enivrants résultats, masquaient ses bêtises enfantines! L'an 2023 approche à grands pas, et il est temps pour, ne pas écrire urgent pour «les guerriers du désert», d'être plus sérieux. Et Youssef Belaïli est un guerrier du désert, donc le 1er concerné par la discipline du groupe. Non pas que Belmadi ait perdu de sa superbe, en l'occurrence, l'autorité, mais le rappel est toujours bon à prendre: «Ou tu es là au service de l'équipe, ou tu es là, pour des No personnels, et cela changera ma vision des choses, Youssef!» Voilà comment nous voyons, en septembre 2022, lors du regroupement des joueurs sélectionnés, le prochain avertissement de Djamel à Youssef. Et cet avertissement, sera général, pour tout le monde, sans exception, car ALLAH nous en préserve, l'équipe Algérie de Djamel Belmadi, n'a nullement besoin de «problèmes de vestiaires» ou sur le terrain, ou pour une passe mal faite.
Non, jeune homme! Le foot est, avant tout, un sport «Co», par excellence! Oui, collectif! C'est tout et c'est mieux que les choses soient ainsi. N'oublie pas aussi, Youssef que tes camarades et amis te regardent avec admiration, et parmi ce groupe, il y a ce renard et patron du Onze national, Djamel Belmadi, qui pardonne un temps, mais jamais tout le temps! Et il ne perd jamais de temps à se répéter! Alors, attention à tous les «Belaïli» comme Youssef qui est un Monsieur dans notre football, mais un Monsieur qui devrait mieux connaître ses limites dans ses évolutions sur les terrains, en portant les couleurs nationales!
Il est heureux pour les amoureux des «Verts» que la relève soit là, debout, attentive et prête à relever tous les défis! Les noms et le potentiel ne suffisent pas. Il y a aussi et surtout l'engagement, la disponibilité et la sérénité pour assurer la stabilité du groupe, voulu et dorloté, par Djamel Belmadi.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours