19.274 appels aux numéros verts

Dans le cadre de la prise en charge continue des préoccupations des citoyens, les services de police de la sûreté de wilaya de Béjaïa ont reçu, à travers ses lignes vertes, au cours du mois de mai, 19 274 appels téléphoniques au numéro vert de la Sûreté nationale 1548, celui d'urgence, le 17, et le 104 pour les mineurs, a indiqué la cellule de communication de la sûreté de wilaya de Béjaïa. Dans le même communiqué, il est précisé que «632 appels téléphoniques avaient pour but de signaler des accidents et des crimes lors de leur survenue ou des tentatives de nuisance et d'atteinte aux personnes et aux biens publics et privés». 18 549 autres appels ont été enregistrés pour des demandes d'informations ou de renseignements. 93 appels téléphoniques enregistrés avaient pour raison des accidents de la circulation, au moment même de leur survenance ou encore la découverte de cadavres. Les services de sécurité de la wilaya restent attentifs aux appels des citoyens pour les servir, à travers ses numéros verts 1548 et 17, et le 104 pour signaler la disparition de mineurs. Il en est de même pour le recours à l'application de l'Allo Police 24 heures/24. Il a organisé des raids de sécurité conjoints avec les intérêts de la Gendarmerie nationale dans la partie ouest de l'État pour lutter contre la criminalité. Par ailleurs, les mêmes services ont fait part dans un autre communiqué, de plusieurs opérations organisées conjointement avec les services de la Gendarmerie nationale au niveau des zones ouest de la wilaya de Béjaïa, dont Akbou, Seddouk, Ouzellaguen et Beni Maousche. Ces opérations ont commencé dans la plupart des quartiers résidentiels connus pour leur criminalité, ainsi que les points noirs, connus pour la croissance des actes criminels. Au cours de ces opérations, 24 infractions au Code de la route ont été relevées, avec deux délits dont le premier est lié à une attestation d'assurance invalide et le second au transport de personnes sans autorisation. Deux véhicules et 11 motos ont été placés dans les fourrières communales.