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Clôture du Salon algérien de l’industrie pharmaceutique à Dakar

Et maintenant?

Un bilan de ce salon doit être fait, en présentant les résultats et les perspectives futures de cette première édition, qui a vu la participation de 70 exposants.

Clap de fin! La 1ère édition du Salon algérien de l'industrie pharmaceutique, à Dakar, a été clôturée, hier, dans la capitale sénégalaise. Cette 1ère édition a vu la participation de 70 exposants dans le domaine de l'industrie pharmaceutique et parapharmaceutique, outre celle des représentants des secteurs de la banque, des transports et des assurances, ainsi que des entreprises scientifiques et professionnelles. Qu'en est-il donc des résultats de cette manifestation scientifique? Une convention a été signée, lors de ce salon, entre le ministère de l'Industrie pharmaceutique et le ministère sénégalais de la Santé et de l'Action sociale d'une part et entre les opérateurs des deux pays, d'autre part. Il y a également eu la signature d'un protocole de coopération entre le Conseil du renouveau économique algérien (Créa) et le Mouvement des entreprises sénégalaises (Meds). Toutefois, il ne s'agit pour le moment, que de conventions. Rien de concret donc. Quel sera donc la suite donnée à ces quatre jours qui ont été présentés comme un événement de grande ampleur? L'Algérie va-t-elle vraiment aller à la conquête de l'Afrique? Certains observateurs se montrent sceptiques sur la question. Ils s'interrogent sur ce qu'ils qualifient de contradiction. «Comment veut-on exporter alors que plus de 300 médicaments sont actuellement en rupture dans le pays?», se demandent-ils. Une question qui mérite d'être posée, du fait que le chef de l'État, Abdelmadjid Tebboune, a lui-même évoqué ce problème. Le président de la République a ouvert une enquête pour déterminer les vraies causes de cette «pénurie». 37 experts ont été dépêchés, au début du mois avec carte blanche de la présidence. Est-ce donc normal qu'au même moment, on aille vanter le médicament algérien dans le continent africain? Ce n'est certainement pas avec du populisme que l'on va changer les choses. Un bilan doit être fait de ce salon, en présentant les résultats et les perspectives futures de cette 1ère édition qui a vu la participation de 70 exposants. Outre le domaine de l'industrie pharmaceutique et parapharmaceutique, ils représentent les secteurs de la banque, des transports et des assurances, ainsi que des entreprises scientifiques et professionnelles. On attend donc de connaître la suite... 

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