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Il met en garde contre le piège des traîtres

Benhalima culpabilise et se repent

Le terroriste révèle avoir perçu chez des jeunes fourvoyés détenus dans la prison d’El-Harrach une haine et du mépris envers Larbi Zitout.

Le feuilleton Benhalima Mohamed Azouz se poursuit charriant au fil des épisodes aveux et révélations. Dans sa dernière apparition, mardi dernier, le terroriste détenu revient à la charge et sert, cette fois, une liste de déclarations, à fort relent de regrets...Il culpabilise et dit regretter de s'être fourvoyé dans les sentiers de la félonie. Le détenu Benhalima évoque, dans la sixième partie de ses aveux, diffusés par la Télévision algérienne sous le titre «Chemin de la félonie...détails d'une conspiration», son enlisement dans la nébuleuse Rachad et dit regretter les «nombreuses fautes» qu'il a commises contre la patrie, présentant ses excuses aux personnes qu'il a attaquées injustement en portant atteinte à leur honneur sur la base de fausses informations glanées sur de faux comptes Facebook. Benhalima met en garde contre le piège des traîtres à l'Algérie.
Le terroriste, révèle, en outre avoir perçu chez des jeunes fourvoyés détenus dans la prison d'El-Harrach une haine et du mépris envers Larbi Zitout, «Amir DZ» et leurs affidés, car ayant découvert la réalité de ces terroristes qui ont exploité et leurré les modestes enfants du peuple. Ces jeunes détenus, ajoute-t-il, éprouvent des remords et sont décidés à rompre définitivement avec les idées destructrices des traîtres à la patrie. Benhalima met aussi en garde les jeunes contre le piège tendu par ces terroristes, appelant tous les Algériens qui ont traité avec Larbi Zitout et les autres terroristes à les mettre à nu. Par ailleurs, Benhalima, demande, à l'occasion de cette nouvelle apparition, à Larbi Zitout de cesser de parler en son nom ou au nom de sa famille, révélant l'ampleur des mensonges et des fourberies auxquels il recourt pour déformer les faits, citant à titre d'exemple la fois où Zitout a prétendu que son frère, Abderrahmane, avait été «kidnappé par une force spéciale relevant des services de renseignement», alors qu'il avait été «convoqué pour un interrogatoire par un policier qui l'a accompagné à un commissariat à Alger, où je m'y trouvais également pour être interrogé». Benhalima précise que Larbi Zitout n'affichait jamais ses desseins malveillants au grand public. Il en a, cependant, ajoute-t-il, révélé certains lors d'un live via «un lapsus» lorsqu'il a littéralement déclaré: «Nous voulons un État islamique», avant de se rattraper en disant: «Nous voulons un État civil.» Parmi les mensonges que faisait circuler Larbi Zitout via l'aile médiatique du mouvement terroriste «Rachad», celui où il prétendait que les trois avocats de défense du terroriste arrêté Mohamed Abdallah travaillaient pour le compte des services de renseignement algériens, alors qu'il les a personnellement mandatés pour défendre son frère Abderrahmane, poursuit Benhalima qui enchaîne que Larbi Zitout avait toujours incité les Algériens à manifester devant les consulats algériens à l'étranger, en raison de la suspension des vols du fait de la propagation de la pandémie de Covid-19, au moment où «sa soeur, qui réside en France, est entrée en Algérie sans être inquiétée, et il refuse de le reconnaître». Le terroriste Benhalima, affirme également, que les «sources fiables» dont parle Zitout à chaque fois «ne sont autres que son frère Smaïl». Dans le lot de ses révélations, Benhalima dit que depuis sa fuite à l'étranger, aucun membre de sa famille n'a été victime de harcèlement. Évoquant sa relation avec le dénommé Ghani Mahdi, le terroriste Benhalima affirme qu'il avait participé avec lui à une émission télévisée sur la chaîne «Canal 22», nouvellement créée, sur proposition de Abdou Semmar, ajoutant que pendant l'émission, Ghani Mahdi lui avait suggéré que l'association «Tahadi» se charge de collecter les fonds pour payer les honoraires de son avocat, soulignant avoir rejeté cette proposition, étant donné que cette association faisait l'objet d'une enquête en Suisse pour blanchiment d'argent, d'où le refus de Ghani Mahdi de diffuser cette émission.

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