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Covid-19, découverte mondiale

Coup de tonnerre. Des chercheurs viennent de faire une extraordinaire découverte dans la lutte contre la Covid-19. Si extraordinaire qu'il n'est pas étonnant que les gros médias internationaux observent le silence. Un silence qui confirme l'intérêt de la découverte pour l'humanité. Pas celui de l'industrie pharmaceutique qui rafle la mise actuellement avec ses vaccins. Pour mieux comprendre, reprenons le fil de l'événement. Jeudi dernier, 11 février, deux chercheurs de la Guadeloupe, le docteur en pharmacognosie (étude des médicaments) Henry Joseph et Damien Bissesar docteur en chimie à la NASA (Etats-Unis) annoncent à la tribune d'un forum «santé et qualité» avoir trouvé une molécule capable «d'inhiber la voie de biosynthèse de novopyrimidines, et notamment la quatrième enzyme de cette voie métabolique qui est la Dihydroorotate déshydrogénase (Dhodh), voie indispensable et obligatoire pour la réplication du virus à ARN». Traduction pour les profanes par le docteur Henry Joseph «tous les chercheurs se sont intéressés au vaccin. Notre stratégie nous a conduits à ne pas nous focaliser sur le virus, mais davantage à la cellule hôte. C'est ainsi que nous avons découvert qu'il existe une voie métabolique dans la cellule. Quand vous bloquez une voie métabolique où le virus est obligé de passer pour se démultiplier, c'est comme si vous mettiez un masque dans la cellule. C'est ce que nous avons réussi, avec des moyens très modestes. On ne s'est pas intéressé à l'immunité adaptative avec les vaccins. On a ciblé l'immunité innée». On comprend aisément la découverte des deux chercheurs. Le jour même de leur annonce, les deux chercheurs ont déposé leur brevet pour protéger leur découverte. Il faut dire qu'ils ont travaillé en collaboration avec le Cnrs de Montpellier (France). La découverte est historique en ce sens qu'ils ont réussi à bloquer l'accès du virus dans les cellules sans lesquelles il ne peut pas se démultiplier. Cela ne concerne pas uniquement la Covid-19 mais aussi plusieurs autres virus. La molécule dont il s'agit est extraite d'une plante. Ceux qui veulent écouter le chercheur expliquer lui-même la découverte, peuvent aller sur YouTube. Voici le lien: https://www.youtube.com/watch?v=oGS6mYuwJVY. Une semaine depuis que l'annonce de cette découverte a été faite. Les réactions se comptent sur les doigts d'une seule main. Quelques médias locaux ainsi que Francetvinfo et Bfm tv plus pour «calmer» le jeu que de rapporter fidèlement les faits. Pas de CNN, ni Skynews, ni TV5 (pourtant la Guadeloupe est un territoire français), tous sont aux abonnés absents. Leur silence n'a pas d'autres explications que la protection des intérêts de l'industrie pharmaceutique occupée actuellement à compter les milliards de dollars des vaccins. Quand bien même, les deux chercheurs auraient voulu être rassurants pour dire que leur découverte est complémentaire aux vaccins. Les labos ne sont pas dupes et savent qu'en bloquant l'accès des cellules au virus, celui-ci perd toute capacité de nuisance et finit par s'éteindre de sa belle mort. Donc adieu «veaux, vaches» (vaccins et milliards de dollars). Une ministre française s'est distinguée dans ce silence et est intervenue sur le sujet à l'Assemblée nationale française en réponse à une question d'un député. Il s'agit de Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur. Elle a reconnu que les deux chercheurs ont «effectivement développé un médicament à base d'herbe à pic, une plante dont les vertus sont utilisées depuis des siècles, qui suscite beaucoup d'engouement... il est encore trop tôt pour en dresser le bilan... évidemment, je ne peux, en tant que biochimiste, que reconnaître l'apport potentiel de molécules présentes dans les pharmacopées...». Mi-figue, mi-raisin en attendant les instructions des donneurs d'ordres. Dans la vidéo postée, le docteur Henry va plus loin en montrant du doigt l'industrie alimentaire dans son ensemble qui, avec ses «ingrédients» chimiques, cause des dégâts à l'humanité. Suite à quoi on peut faire aisément le pronostic de cette découverte. Soit elle va être rejetée par la «communauté scientifique» (le silence de l'OMS est révélateur). Soit elle va être enterrée en réduisant au silence, d'une manière ou d'une autre, les auteurs de la découverte. La probabilité d'un miracle d'une suite favorable à la santé humaine, est mince. Ainsi va le monde qui fait de l'argent sa première religion. Sans y ajouter les thèses «complotistes». Une pensée au professeur Didier Raoult, dernière victime du rouleau compresseur mondialiste. Où sont les scientifiques intègres?

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